Vous trouverez ici tout ce qui se passe dans la salle de Canal Sud. Plan d’accès et contact.
	
	
	
		
	
	
	
	
	
		
	
	Pourquoi le mur ? Pourquoi l’illusion ?
 Tout simplement pour exprimer le paradoxe humain face à une société de consommation, face à une colère s’exprimant au quotidien, face à un mal être.
 Parce que la « société de consommation » au fond n’existe pas, on parle d’elle, chaque être lui donne sa forme, son visage, ses couleurs. Un jour tout est beau, un autre jour tout est moche.
 Parce qu’aussi il est devenu de plus en plus important dans tous ces amalgames matérialiste de cultiver la sincérité, l’honnêteté et d’oser regarder les murs là ou ils sont non pas 		
		
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	Le début de l’aventure, en 1995, est un « comment » transcrire un sentiment, une impression, une réflexion, une pensée.
Une quête de "support" pour mettre en évidence la faille d’un système économique financier uniquement appuyé sur la règle de « l’offre et la demande ».
‘’Cette forme économique basée sur 2 axes (abscisse et ordonnée) provoque à terme l’immobilisation du capital (masse) monétaire par la concentration excessive de « cette matière d’échange » sur un unique objectif (émargement), menant ainsi inéluctablement le système à son extrême, à saturation et donc est inévitablement voué à sa perte par asphyxie.’’
	
	
	
		
	
	L’idée de départ, était de prendre en photos des liens très ordinaires comme des bâtiments, des préaux, des cours d’immeubles...
Tous ces endroits où l’on passe de nombreuses fois à côté, sans spécialement y porter attention. Je ne travaille qu’avec un appareil polaroïd. je marche énormément (ou plutôt déambule) dans les rues toulousaines, souvent le dimanche, et lorsque l’architecture d’une habitation, d’une place ou autre m’intrigue et provoque en moi une sensation , j’utilise mon polaroïd.
Ainsi je je peux "traiter" cette image, ce qui constitue la deuxième partie de mon travail. Lire la suite..
	
	
	
		
	
	
Cette installation a pour objectif de sensibiliser, le plus vivement possible, l’enfant qui est resté en nous car cet orchestration de ballons n’est ni plus ni moins le résultat d’un plaisir créatif qui essaient de remonter le temps vers la génèse des éléments, quand la vie bredouillait avec un peu d’eau, quelques débris et la magie de la lumière.
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Le mot de vient image, l’image la forme d’une autre histoire, la perception lie ces ensembles par une dimension temporelle créant le paradigme. On peut toujours prétendre tout savoir, le leurre est enchanteur sur la réalité. Rien dans l’imaginaire ne perd de sa teneur impalpable. L’image anime l’espace/temps, la vie....
	
	
	
		
	
	
“ Ce mois de mai à canal sud à Toulouse nous faisons une exposition Papillion et moi, c’est le pendant d’art plastique de Novel Optic ; nous avions fait la même exposition à Rodez chez Elvis Godart en 1997. Au mois de juin en suivant à canal sud à Toulouse, j’organiserai l’exposition “ Les polymorphes de Rodez ” déjà montrée à la galerie Foch à Rodez en 1999 ; cette exposition est ma version de l’Ecole de Rodez après celle de Michel Battle ainsi que celle de Félix Castan ; “ Les polymorphes du coin ” insiste sur l’aspect Lire la suite..
	
	
	
		
	
	
	
	
	
		
	
	exposait à canal sud juillet 2000
Avant de rencontrer Caterina et de séjourner dans le Nord, je peux bien dire que j’exécrais tout ce qui était gris - On peut légitimement penser qu’une adolescence banlieusarde et bétonnée n’était pas étrangère à la persistance d’un tel sentiment passionné.
Par le fait, je ne comprenais rien à cette couleur et ne pouvais la souffrir, surtout en peinturer, et il semblait que Delacroix avait tout dit là-dessus.
"L’ennui de toute peinture est le gris."
Impossible de rien faire avec le gris, non ?
Erreur.
Caterina porte le Nord en lui. Lire la suite..
	
	
	
		
	
	MOSAICO CHILENO
"Première impression"
Depuis l’âge de 7 ans, l’Amérique Latine me passionne.
Particulièrement le Chili pour sa diversité culturelle, son histoire et la grande gentillesse de ses habitants.
Pendant 7 semaines, j’ ai vécu dans les villes de La Serena et Coquimbo. J’ai voulu rentrer dans la société chilienne de la façon la plus aisée : le fil conducteur sont les jeunes de ma génération (autour de 20 ans). Concrètement, je fus dans le lycée Gabriela Mistral où mon hôte est professeur d’histoire et d’informatique. De plus, j’ai pu rencontrer des jeunes de Coquimbo grace à Kiko, Lire la suite..