un frisson dans la nuit
articles
| fil d'infos
| podcast
Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
-
Un frisson dans la nuit : The last silent movie Susan Hiller
publié le 7 février par bidonfumant
|
« La langue est une raison humaine qui a ses raisons et que l’homme ne connaît pas. » Claude Levi Strauss
À Toulouse, il y avait un parcours d’art contemporain, un truc institutionnel qui fait très Cartier, pas le genre quartier barrio, mais plutôt cartier diamant. Mais peu importe, ça n’empêche pas de goûter au plaisir de voir des choses fortes.
Une installation tournait autour de Susan Hiller une artiste américaine qui réalise depuis des décennies des installations. Ici, c’est le film the last silent movieet ce que ça a déclenché de voir un tel film.
Un écran noir où n’apparaissent que des sous-titres traduisant le son des langues inconnues, en voie de disparition ou disparues.
Dans le coin gauche (...)
-
un frisson dans la nuit : JC Solanas
publié le 11 janvier par bidonfumant
|
Jean-Claude Solana
(...)
-
un frisson dans la nuit : comme tout le monde
publié le 27 décembre 2024 par bidonfumant
|
Comme tout le monde, je suis couché en travers de la vie et la vieme traverse.
Comme tout le monde, demain cet anorak ira rejoindre ses semblables à atacama
Comme tout le monde, Attal est ma personnalité préférée (pas tout à fait , rassuré ?)
Comme tout le monde, juché sur un tabouret j’essaie de ne pas désespérer le monde Comme tout le monde, j’aimerais que les choses soient autres
Comme tout le monde, je pense que comme tout le monde c’est comme moi. Comme tout le monde, je suis unique.
Comme tout le monde et Xu Xiucha, j’élève des lapins blancs et je récite : « J’ai saisi la chance de vivre une fois Et cette chance unique, Je la chante, je la danse », et je la hais aussi parfois et je l’aime parfois…
Comme tout me monde, je sais que les poules n’auront jamais de dents.
Comme tout le monde, on peut s’en foutre puisque ce n’est pas l’an quarante..
Comme tout le monde, une fois encore, je vous souhaite une bonne année…
Et pourtant, comme tout le monde, je sais qu’elle ne peut être bonne.
(...)
-
un frisson dans la nuit : 70.02 dur , dur...
publié le 9 décembre 2024 par bidonfumant
|
Ou grave, grave pour être dans l’air du temps.
Sur le site, vous avez l’entretien de BF dans la partie expo, seul face à un ordinateur avec quelques questions.
C’est confus et un tantinet ennuyeux
Sur le site, vous avez l’entretien de BF dans la partie expo, seul face à un ordinateur avec quelques questions.
C’est confus et un tantinet ennuyeux. Dans cette émission, il y a sans trop se prendre au sérieux, le là, le là d’où je parle.
Donc, ça illustrera les propos d’à côté et même ça les rend dérisoires.
Certaines références sont les mêmes qu’il y a bien longtemps.
On ne se change pas contrairement à ceux qui voudraient nous faire croire que la vieillesse serait un naufrage total.
Pour le corps, je suis d’accord, pour la vitesse d’exécution, peut-être aussi, mais pour les idées, pas question.
Je (...)
-
un frisson dans la nuit : los flamencos no comen
publié le 29 novembre 2024 par bidonfumant
|
Los flamencos no comen
Ce pays bascule comme tant d’autres dans un racisme délétère.
Le pire, c’est le racisme sous-entendu, celui qui écarte, discrimine, discrédite, dévalorise, élimine sans expression franche... Nous, mais nous ne sommes pas racistes, mais...
Ils ne sont pas comme nous dit-on... Le vieil argument qui revient à dire, nous sommes mieux qu’eux.
Fatiguant, tout ça...
Je croyais tout ça réglé. Mais non, comme toute chose politique, il faut vingt fois, voire plus, malheureusement, remettre sur le métier nos ouvrages.
Et ça m’étonnerait fort que l’onsorte de la connerie ambiante qui est ce qui se partage le plus.
Une exploration d’une revue de recherche tout azymut.
Los flamencos no comen N° 5
(...)
-
un frisson dans la nuit : La ville plus que parfaite
publié le 22 novembre 2024 par bidonfumant
|
Ça y est les parcmètres sont dans ma rue. Étape importante de la gentrification.
Le parking réservé aux résidents. Par un élan de solidarité extrême, les résidents propriétaires trouvent la formule peu chère et garantissant le parcage.
Mais il y a plein de sous-textes à cette proposition municipale et bien sûr ,un tombereau de conséquences pour les travailleurs et les précaires.
La ville plus que parfaite est un indispensable de votre table basse et un accélérateur de discussions qui dépasseront celles sur les destinées sportives et éclairciront les appartenances.
Vous y trouverez sans aucun doute des concordances avec ce qui se passe dans notre ville ... Démolition, place commune, ambigüité des artistes, privatisation...
(...)