Cristina Cosma est architecte et photographe. Elle vient de co-fonder une association ArCoLab qui propose de mêler les regards, les gestes artistiques et les pratiques liés à l’urbanisme et à l’environnement. Ce projet associatif a trouvé ses quartiers de résidence au Timbre, un tiers-lieu temporaire basé Barrière de Paris.
"Architecte et designer, je conçois des espaces sensibles, ancrés dans une approche bioclimatique et éco-responsable. Mon travail explore l’équilibre entre architecture, nature et matière. En parallèle, ma pratique de la photographie prolonge cette quête d’harmonie et de lumière", explique Cristina.
Au Timbre, elle a fait connaissance de Sarah Pasquier, architecte maquettiste, curatrice et plasticienne, elle-même partie prenante d’un collectif d’architectes féministes, le NiNe. Les deux sont venues ensemble parler de leurs approches, de leurs disciplines, de leurs créations, de leurs ateliers et de leurs projets au micro du Magazine.

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Mono-salle, comme disent les professionnels de la profession, le Cratère est un cinéma de quartier pas tout à fait comme les autres. Aujourd’hui classé art et essai, il a d’abord été un ciné-club et défend toujours une certaine idée d’un cinéma engagé autant esthétiquement que socialement. Il fête cette année ses 50 ans. En 1975, le premier film à l’affiche était "Punishment Park " de Peter Watkins, cinéaste qui a pourfendu toute sa vie durant ce qu’il appelait la "Monoforme" imposée par les mass médias.
Au micro du Magazine, Pierre-Alexandre Nicaise revient sur l’histoire du Cratère.

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Une campagne mondiale de plaidoyer en faveur de politiques en matière de drogues fondées sur la santé et les droits humains.

Une campagne mondiale de plaidoyer en faveur de politiques en matière de drogues fondées sur la santé et les droits humains. Support. (...) Lire la suite..

Aujourd’hui, c’est peut-être la voix de la mort – ou plutôt, celle d’un rapport du vivant à la mort.
On va parler de la mort comme réalité quotidienne, comme expérience intime, comme moment à traverser, à dire, à partager – même avec les enfants. Parler de la mort pour mieux vivre, pour remettre du sens, du lien, du collectif dans nos deuils, dans nos adieux, dans nos fins.
Pour remettre aussi de la vie dans notre mort.

Aujourd’hui, c’est peut-être la voix de la mort – ou plutôt, celle d’un rapport du vivant à la mort. On va parler de la mort comme réalité (...) Lire la suite..