Rose Amère Albatros
publié le 7 septembre 2020 par |Une promenade hallucinée dans la ville confinée.
L’activité s’est retirée, et la ville est sur le flanc comme un bateau sur l’estran.
Le canot cycle dérive dans un espace à la fois tangible et mental, dans les rues dehors mais aussi dans les angoisses, dedans.
La ville n’est pas seulement rendue à la nature et au silence, elle est encore pleine des bruits et des misères qui toujours l’habitent.

