sur place

Je me prénomme didon, c’est une des neuvième fois que j’expose dans l’espace Canal sud...

je m’appelle didon et j’aime rencontrer les gens, les artistes, les copains... je cherche parfois pourquoi je m’appelle didon , bon c’est comme ça, point à la ligne...

j’expose la suite d’un travail de peintures et de photos mélées que j’appelle "document de saisons"

je vous souhaite une bonne année et une bonne expo...

Avec la Naissance du Printemps

j’ai vu le ciel se gorger de lumière

et se déposer sur le paysage peint.

Avec la Naissance de l’été

j’ai vu Lire la suite..

Marie nous a quittée vendredi 29 janvier 2010 à l’hôpital Purpan. Pour ceux et celles qui l’ont connue ou croisée dans des manifs ou des expos, c’est elle qui dessinait ou peignait entre autre, des vaches... Marie JOUIN a exposé ses œuvres à canalsud à plusieurs reprises.

En janvier 2004, ce sont des vaches blanches et noires qui s’adressaient au public au travers d’attitudes ou de textes. En février 2008, elle présente des peintures, collages et dessins qui se mêlent dans une installation pour nous dire toute sa révolte et la nécessité de faire quelque chose pour changer ce monde.

Marie JOUIN restera présente en nous par ce sourire quémandeur, ce regard scrutateur et ses œuvres si parlantes, car sa révolte est aussi la nôtre, nous sommes juste un peu moins impatients, trop raisonnables en quelque sorte, mais si Lire la suite..

Mon travail se fonde sur le rapport dialectique de deux notions : l’art et l’être au monde.

A la question qu’est-ce que l’art ? Je répond : l’art n’existe pas, c’est une valeur. Pour poursuivre la réflexion j’interroge l’activité ;

toute activité humaine à une fonction, l’art a donc, elle aussi une fonction... encore faut il que cette fonction soit spécifique. L’art exemplifie. Ce n’est pas l’exemple qui fait art mais l’acte. Un geste, une action qui reste en suspens dans une manière de faire ... art. A ce niveau d’analyse, je devrais parler d’esthétique, mais je me Lire la suite..

1407 km parcourus, de Lima, la capitale à Tumbes, la frontière équatorienne. Au bord d’une route ou sur la place du village, prendre son temps pour regarder et apprivoiser un espace, rencontrer les individus qui l’habitent, tenter d’être au contact et en proximité. Dix neuf arrêts. Villages, villes et extension de villes, désert. Un regard sur un espace habité en changement incessant, comme un instant volé à une transition perpétuelle, où ce qui se détruit et ce qui se construit partage le même temps.

Ana Cécile Paredes

www.collectifhdfs.net

EXPO PHOTO Marc Bernard Du 4 au 31décembre 2009

Tuer le cochon, un geste singulier…

On tue encore dans les fermes le cochon domestique.  Ces gestes viennent du fond des temps. Cette brutalité apparente est pourtant bien plus humaine que les abattoirs mécanisés d’où sortent les jambons industriels que nous mangeons tous les jours. L’animal y est considéré comme un compagnon, pas comme un produit. De plus en plus contrôlée, à peine tolérée, la tuerie domestique du cochon est de plus en plus rare et devient difficile à trouver. Photographier ces gestes bientôt disparus avec une technique Lire la suite..

Sebastien lespinasse et Yves Le Pestipon seront les artisans de cette installation qui évoquera un court instant des fouilles et analyses que provoque ce lieu à la tellurique molle. Objetcédaire de la place Pinel .
Pour en savoir plus

RDV vendredi à 19h00 pour le vernissage d’une nouvelle expo dans les locaux de la radio. Impossible , de se rappeler si septembre est septembre puisque certains y décrètent le printemps alors que ce n’est qu’une rentrée estivale.

Donc cette impossibilité à projeter une rentrée entérine l’idée que jamais ça ne s’arrête et que tout n’est qu’une compilation .

Rien est vrai tout est permis.

De cette vacance de sens, nous montrerons que le local qui figure l’espace à investir de canal sud a été repeint en blanc.

Pas de provocation inutile et surfaite d’une monstration de murs blancs avec Lire la suite..

A travers deux séries de photographies de nu et des pièces sonores, Johann Chaulet (PaPoU) et Romain Madoui (Memo) vous invitent à pénétrer une atmosphère et partager leur expérience. Evoluant au sein de l’installation mise en place par Johanna Gaillard (Shagna), le spectateur marche, s’arrête, se pose. Complice de ce qui s’expose, il se balade dans les crissements industriels et erre dans la chaleur d’une nuit d’été.

– suite.