bidonfumant

J’écoute the last trip to Tulsa de Neil Young et je repense à tout ce qui nous mène à ce vendredi 11 janvier et à la proposition à Jérôme de s’exposer.

Monique Chabert artiste reconnue de Toulouse, m’a un jour au salon qui reçoit (tous les 22 du mois , 274 rue Henri Desbals Toulouse, proposition de Laurent Redoules, à manquer le moins possible) demandé si j’acceptais que quelqu’un qui dessinait avec des feutres me téléphone.

Et, j’ai donné mon numéro de téléphone (je vous le dis, entre nous, ce n’est pas si difficile que ça de donner ou parfois de partager).

Quelques jours plus tard, le téléphone sonne, que saurait-il faire de mieux ?

"Allo, (...)

Traces et rencontres....
Vernissage vendredi 5 octobre 19h....

traces et rencontres... les paroles sont vides, le pinceau laisse ds traces. traces et rencontres.
Chaque rencontre est une incarcération. traces rencontres . martine villemain à canal sud en octobre...

ESPRIT CUBIQUE

J’ai exploité une idée formelle, celle de petits cadres peints, posés ensuite sur une surface peinte.

Pas d’autre but ici que le plaisir de manipuler, jouer avec les hasards des coups de pinceau.

J’y trouve le plaisir du sculpteur : se déplacer autour d’une œuvre et en voir le « paysage » évoluer suivant l’angle.

Media : huile, essentiellement et acrylique. Supports : toile ou bois.

de novembre 2010 à mai 2012.

Les titres donnés ne dénotent ni intention ou sens à donner. Ils facilitent seulement la référence pour parler des œuvres.

D. Pilot Toulouse, le 10 juin 2012

ESPRIT CUBIQUE

Je peins régulièrement depuis huit ans .

Ma formation consiste en deux années de cours à la (...)

Dans mon travail artistique, je suis consacré à la peinture relative. La fixation sûr une, soi-disant, stil me déplait, c´est pourquoi je la refuse. Plutôt ca m´intéresse de confronter des principes d´images différents dans la peinture. Des principes, ce sont des approches et des caractères comme : figuratives, expressives, partant de la photo, partant de la couleur, abstraites, minimales, chaotiques, contemplatives.
Je suis sur la recherche d´une nouvelle interprétation de la peinture. C´est pourquoi j´ai développé le processus que j´appelle relativiser la peinture. Après avoir terminé une première peinture, je ne cesse de réagir de nouveau dessus.

Qu´est-ce que peut dire encore une image ? Quelles valeurs elle peut véhiculer ?

Je la questionne, pour cette raison. Je réfléchi sûr l´image. J’interroge sa (...)

vendredi 30 mars à 19h vernissage

Un autre titre pour ce blog :
« Affiche toi le mur t’aidera »
Ou bien : « Défonce d’afficher », pour nous rappeler combien s’exprimer nous aide à respirer.
Ou bien encore : « De la pub sinon rien », pour mettre fin à la polémique.

Car il s’agit non pas d’interdire l’affichage comme nous le disent les murs mais de l’autoriser seulement au profit de quelques uns l La publicité règne en maître et sans partage dans l’espace publique. Imaginons qu’il en soit de même dans d’autres domaines : sur l’ écran noir de nos nuits blanches, sur le silence de nos partitions , sur les 250 pages du roman de mes vacances, sur le ciel bleu de mon blanc rouge, sur tout (...)

Dans cette installation il y a deux choses, deux aspects du monde, deux représentations du monde qui concourent à une façon de penser le monde. Mais avant pourquoi je préfère le mot installation. Je pourrais tout aussi bien dire exposition, ou exhibition (mais je n’ouvrirai certainement pas mon manteau) ou je ne sais quelle prestigieuse manière de dire que ce que l’on fait est digne d’intérêt et surtout marque un cran dans l’histoire de l’art ou tout aussi embêtant que ça n’a aucun intérêt.

Je n’ai pas d’atelier donc pas de possibilité de faire de nombreux essais ou de noter ce que tel (...)

Le vernissage est passé, mais nous vous engageons à aller voir le travail de Frédéric Pérez, peinture sur toile ou sur papier.

Elles se font faces.

Elles se font faces. Les deux toiles se renvoient l’une à l’autre. De la colle, de la crasse, de la vie dégoulinent sur chacune de leur de leurs faces.

Elles sont un état d’être au monde. Toute l’incompréhension, la négation mais aussi un cri à la vie, de la joie qui montent au ciel. L’artiste, les deux bras élancé vers le ciel comme ces platanes dont les branches se dressent près du canal du midi.

vernissage le premier avril à 18h. Et ce n’en est pas un de premier avril. De toute façon, il n’est pas très sûr que dans débauche de sculptures en tout genre d’animaux réels, imaginaires, fantasmés, cauchemardés, vous retrouviez un quelconque poisson, pas plus qu’un rescapé des élections cantonales voire plus si affinités.

Sophie Davidocic

Cela a sans doute rien avoir avec l’art, ni même avec une certaine idée de l’art. En ce qui me concerne ça aurait à voir avec une certaine idée. Mais utiliser l’adjectif certain comporte toujours un certain risque, ce qui est certain n’est pas sûr et ça introduit un doute. Comme "sans doute" en introduit un certain nombre. Donc ce qui suit a peut-être à voir avec ce qui est à voir mais peut-être pas.Bon, je ne vais quand même pas entonner avec Doris Day , que sera sera....

Et notamment aujourd’hui que nous sommes revenus à un ante 1789 et où une aristocratie politique , philosophique économique, journalistique nous montre que leur représentation du monde est la seule possible. (...)

Je me prénomme didon, c’est une des neuvième fois que j’expose dans l’espace Canal sud...

je m’appelle didon et j’aime rencontrer les gens, les artistes, les copains... je cherche parfois pourquoi je m’appelle didon , bon c’est comme ça, point à la ligne...

j’expose la suite d’un travail de peintures et de photos mélées que j’appelle "document de saisons"

je vous souhaite une bonne année et une bonne expo...

Avec la Naissance du Printemps

j’ai vu le ciel se gorger de lumière

et se déposer sur le paysage peint.

Avec la Naissance de l’été

j’ai vu des brillances trop fortes

se fixer sur les images.

Avec la Naissance de l’Automne

j’ai vu le vent, le froid et la pluie

nous raconter (...)

En janvier 2004, ce sont des vaches blanches et noires qui s’adressaient au public au travers d’attitudes ou de textes. En février 2008, elle présente des peintures, collages et dessins qui se mêlent dans une installation pour nous dire toute sa révolte et la nécessité de faire quelque chose pour changer ce monde.

Marie JOUIN restera présente en nous par ce sourire quémandeur, ce regard scrutateur et ses œuvres si parlantes, car sa révolte est aussi la nôtre, nous sommes juste un peu moins impatients, trop raisonnables en quelque sorte, mais si proches de ces interrogations.

Mon travail se fonde sur le rapport dialectique de deux notions : l’art et l’être au monde.

A la question qu’est-ce que l’art ? Je répond : l’art n’existe pas, c’est une valeur. Pour poursuivre la réflexion j’interroge l’activité ;

toute activité humaine à une fonction, l’art a donc, elle aussi une fonction... encore faut il que cette fonction soit spécifique. L’art exemplifie. Ce n’est pas l’exemple qui fait art mais l’acte. Un geste, une action qui reste en suspens dans une manière de faire ... art. A ce niveau d’analyse, je devrais parler d’esthétique, mais je me trouve de nouveau confronté à une question sans réponse. Je préfère donc parler de cohérence entre les moyens mis en œuvres pour exemplifier et l’exemplification. (...)

1407 km parcourus, de Lima, la capitale à Tumbes, la frontière équatorienne. Au bord d’une route ou sur la place du village, prendre son temps pour regarder et apprivoiser un espace, rencontrer les individus qui l’habitent, tenter d’être au contact et en proximité. Dix neuf arrêts. Villages, villes et extension de villes, désert. Un regard sur un espace habité en changement incessant, comme un instant volé à une transition perpétuelle, où ce qui se détruit et ce qui se construit partage le même temps.

Ana Cécile Paredes

www.collectifhdfs.net

EXPO PHOTO Marc Bernard Du 4 au 31décembre 2009

Tuer le cochon, un geste singulier…

On tue encore dans les fermes le cochon domestique.  Ces gestes viennent du fond des temps. Cette brutalité apparente est pourtant bien plus humaine que les abattoirs mécanisés d’où sortent les jambons industriels que nous mangeons tous les jours. L’animal y est considéré comme un compagnon, pas comme un produit. De plus en plus contrôlée, à peine tolérée, la tuerie domestique du cochon est de plus en plus rare et devient difficile à trouver. Photographier ces gestes bientôt disparus avec une technique photographique (argentique) elle-même en voie de disparition rapide c’est pour moi un hommage à nos racines les plus profondes.

Je remercie les paysans qui m’ont (...)