Et non Brasero n’est pas mort, juste un peu de mal à tenir le rythme prise que nous sommes par d’autres fronts, d’autres activités. On revient bientôt avec une émission sur les façons de parler, les accents etc...
En attendant on a pas rien passé sur les ondes et mêmes on parle de nous sur le net.
3 non héritières racisées, discutent et abordent la question des privilèges, héritages, vieillesse et de rapport au travail. En quoi l’héritage vient-il accentuer les inégalités matérielles de vie, dans nos espaces de lutte !?
3 non héritières racisées, discutent et abordent la question des privilèges, héritages, vieillesse et de rapport au travail. En quoi (...) Lire la suite..
C’était jeudi 5 avril 2018, une belle journée de grève qui nous a permis de vivre nos précarités au soleil de l’université du Mirail, avec des AED, des vacataires de l’université, des membres de l’Assemblée des chômeurs et précaires, une mère isolée, des contractuel.le.s du secondaires et même des titulaires de primaire.
C’était jeudi 5 avril 2018, une belle journée de grève qui nous a permis de vivre nos précarités au soleil de l’université du Mirail, avec (...) Lire la suite..
Rencontre avec Elsa Dorlin autour de son livre Se défendre - Une philosophie de la violence, paru aux éditions Zones.
Rencontre avec Elsa Dorlin autour de son livre Se défendre - Une philosophie de la violence, paru aux éditions Zones. C’était le mardi (...) Lire la suite..
Brasero, Brassage radio, aujourd’hui on colle à l’aire du temps et on s’écrie en cœur : Métropole mon amour !
C’est fini d’habiter la ville maintenant nous habitons la métropole. Fini la province, nous voilà au cœur du pouvoir, au cœur du progrès, au cœur du futur. L’inflation du discours sur l’urbain marque les politiques municipales qui ont décidé de passer aux choses sérieuses, pour maximiser les profits des un.e.s et l’exploitation des autres.
La métropole est à l’air des services ce que l’usine est à l’air industrielle : l’organisation méticuleuse de nos déplacements, de nos positions et de nos gestes. Pour que s’accumule sans fin le capital des rois de la mine et du rail. Qui, aujourd’hui, comme hier ne font rien d’autre que de dévaliser le travail.
Après un petit explicatif de la métropole nantaise on partira faire un tour de métro ce faisant on rencontrera TESO et d’autres projets fou. On ne ratera pas l’arrêt conte pour la suite et fin de « Mélusine et des sorcières au placard à balai ».
Bonne écoute !