Brasero

Vous ne le savez pas ? Y’a des enseignant.es en grèves, des profs, des instit, des pion.nes, des assistant.es de vie etc... Depuis des semaines... Parce que le ministre de service a décidé de remettre un clou sur le cercueil de l’égalité (déjà discutable) de l’éducation nationale. Prenez 10 minutes pour écouter... merci. Après vous verrez bien... Plus d’info sur iaata.info

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Comment faire tourner les usines sans les travailleurs vigoureux, nourris, blanchis, qui occupent la chaîne de montage ? Loin de se limiter au travail invisible des femmes au sein du foyer, Federici met en avant la centralité du travail consistant à reproduire la société : combien couterait de salarier toutes les activités procréatives, affectives, éducatives, de soin et d’hygiène aujourd’hui réalisées gratuitement par les femmes ? Que resterait-il des profits des entreprises si elles devaient contribuer au renouvellement quotidien de leur masse salariale ?
La lutte contre le sexisme n’exige pas tant l’égalité de salaire entre hommes et femmes, ni même la fin de préjugés ou d’une discrimination, mais la réappropriation collective des moyens de la reproduction sociale, des lieux de vie aux lieux de consommation – ce qui dessine l’horizon d’un communisme de type nouveau.

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Raconter des rêves, expliquer les rêves, mettre en son des rêves... Tout ça ,et un peu plus, parce qu’une petite fille de 7 ans a gagné brasero jeux et a voulu que nous parlions de rêves. "Parce j’aime bien rêvé"... simple et imparable.
Avec la participation exceptionnelle de Rita et Frida pour la première fois on air et l’amical participation des spécialistes du monde onirique Fraise et Radis...
Belle écoute

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Nous n’en finissons pas de faire sans cesses les mêmes émissions. Pourtant sans cesse face aux dénégations du pouvoir et à la propagande médiatique il nous faut rappeler l’histoire d’une institution dont le rôle est de maintenir un ordre injuste et meurtrier. Il n’y a pas une manière juste de maintenir l’injustice...
Nous rediffusons un entretien avec Maurice Rajfus qui nous explique pourquoi il n’aime pas la police et un entretien avec Mogniss Abdallah sur la marche pour l’égalité de 1983. Cette marche qui était, déjà, aussi une action contre les violences policières.

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Le 4 novembre dernier se tenait enfin en Nouvelle-Calédonie un référendum d’autodétermination très attendu : pour ou contre la pleine souveraineté de cet archipel toujours possession française, bien que situé aux antipodes de chez nous ? Alors qu’une grande partie de la droite locale avait clamé haut et fort que ce vote allait définitivement enterrer la revendication indépendantiste, le oui emportait plus de 43% des suffrages, un score bien supérieur à ce qu’annonçaient sondages et nombre d’observateurs. Non seulement l’indépendantisme n’est pas mort ce jour-là, mais les anti-indépendantistes de Nouvelle-Calédonie, comme l’Etat français, comprenaient que le processus entamé il y a 20 ans avec les accords de Nouméa (et même il y a 30 ans si l’on remonte aux accords de Matignon-Oudinot, qui mettaient alors fin à des années de quasi-guerre civile) pouvait aboutir à court terme à la fin de plus de 160 ans d’occupation française ! Peut-être dès 2020, lors du second des trois référendums possibles...

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