Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
Vous le savez, il m’arrive des accidents radiophoniques. Il faut admettre quand on fait une émission de faire quelques erreurs qui en général partent d’un bon sentiment. Certains penseront que c’est de la trituration de cervelle mais c’est cette trituration de cervelle sur ce qui semble être de petits détails qui fait vraiment avancer les choses.
A force de dire que tout est trivial, de tout relativiser, on laisse un discours de genre s’imposer. Je dis bien de genre au sens grammatical du terme et pas du genre sociologique, indispensable grille de nos analyses d’aujourd’hui, analyses, bien grand mot, juste de (...)
Jean Luc Zwenger sur les murs de canal sud ce mois de septembre.
Vernissage 5 19h
Jlz
Poésies de luis ernesto Valencia
Mosab abu Toha
Rachid Boudgejdra
Textes de Claude Djongo Codjo la mémoire éclatée
et de Hubert Colas la nouvelle violence
Extrait de films
un idiot à Paris
Valpaiso, valparaiso !
Musique
Survivor’suite Keith Jarret
En plein cœur Jeanne Marie Sens
Bahallilak Rim Banna
La révolution Hugues Le Bar
Wish you were here Alpha Blondy
Live and let die Byron Lee & the dragonaires
Death have no mercy Reverend Gary Davis
Autre dédicace à Jean Luc Révolution
La transgression ne paie pas.
Mais faut quand même la faire.
Rien est vrai tout est permis.
Et le voilà , maintenant dans la rue, plus exactement au Tompkins square park, à New York. le lieu des réprouvés et de la révolte. Tout ce qu’il y a de déclassé se retrouve là depuis les années 50
Jusqu’à cette nuit 6 août 88 où tout fut nettoyé violemment par la police. En France, il y a eu la nuit du 4 août et nous, notre nuit du 6 août complètement inversé, on a rétabli les privilèges des gens bien sages et bien conformes.
Dessiné vers 1850, et devenu parc public vers 1870, le parc doit son nom à l’ancien gouverneur de New York, Daniel D. Tompkins, vice-président des États-Unis sous la présidence de James Monroe. Il a été le lieu célèbre d’émeutes sociales le (...)
Je n’ai vraiment, rien à en dire . Juste envie d’écouter quelques trucs plus ou moins anciens.Je me suis rendu compte qu’il y avait de quoi faire plein d’heure sur l’amour. Un truc finalement pas très sécure dans le monde des caméras surveillance (vous avez les nouvelles ostensibles sur le pont de la gare), la sécurité, l’immigration, et je ne sais quelle autre arnaque politique..
Ce pays bascule comme tant d’autres dans un racisme délétère.
Le pire, c’est le racisme sous-entendu, celui qui écarte, discrimine, discrédite, dévalorise, élimine sans expression franche... Nous, mais nous ne sommes pas racistes, mais...
Ils ne sont pas comme nous dit-on... Le vieil argument qui revient à dire, nous sommes mieux qu’eux.
Fatiguant, tout ça...
Je croyais tout ça réglé. Mais non, comme toute chose politique, il faut vingt fois, voire plus, malheureusement, remettre sur le métier nos ouvrages.
Et ça m’étonnerait fort que l’onsorte de la connerie ambiante qui est ce qui se partage le plus.
Los flamencos
Une exploration d’une revue de recherche tout azymut.
Los flamencos no comen N° 5
Je n’ai bien sûr rien contre les journalistes, à condition qu’ils ne répondent pas aux critères avancés par Elie Cohen et Gérard Grimberg dans leur livre : les gilets jaunes une double régression, ça doit sentir bon l’élitisme et l’hostilité aux mouvements sociaux.... « Les journalistes doivent se rappeler qu’ils ne sont pas de simples observateurs, mais qu’ils font partie des élites dont le rôle est aussi de préserver le pays du chaos. »
Bien sûr, ce ne sont pas les mêmes journalistes qui se font tuer sur des lieux de conflits ou de république bananière ; ’les républiques bananières ne sont pas obligatoirement productrices de bananes. Il y en a en Europe et plus qu’on le croit certainement.
Presscélérate
Illustrations sonores : deux vieilleries qui fonctionnent toujours aussi bien