Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
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un frisson dans la nuit : presse-citron
publié le 27 juin par bidonfumant
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Je n’ai bien sûr rien contre les journalistes, à condition qu’ils ne répondent pas aux critères avancés par Elie Cohen et Gérard Grimberg dans leur livre : les gilets jaunes une double régression, ça doit sentir bon l’élitisme et l’hostilité aux mouvements sociaux.... « Les journalistes doivent se rappeler qu’ils ne sont pas de simples observateurs, mais qu’ils font partie des élites dont le rôle est aussi de préserver le pays du chaos. »
Bien sûr, ce ne sont pas les mêmes journalistes qui se font tuer sur des lieux de conflits ou de république bananière ; ’les républiques bananières ne sont pas obligatoirement productrices de bananes. Il y en a en Europe et plus qu’on le croit certainement.PresscélérateIllustrations sonores : deux vieilleries qui fonctionnent toujours aussi bien
MEGALOPOLIS d’herbert Pagani
et
COUPER N’EST PAS JOUER Bernard Heidsieck
et encoreDES HARICOTS À LA FIN une drame musical instantané
et un indispensable et nécessaire de Zahnia Kadyrova
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un frisson la nuit : c’est d’ici que nous observons d’autres villes croître à en perdre la raison
publié le 20 juin par bidonfumant
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Jeter des litres et des litres d’eau assortis de produits chimiques sur votre gazon, attendre qu’il s’extirpe de la terre, puis lui couper la chique avant qu’il ne puisse pousser, se reproduire et répandre ses graines. La définition d’une pelouse : un cycle sans fin d’écologie vouée à l’échec.
C’EST D’ICI QUE NOUS OBSERVONS D’AUTRES VILLES CROÎTRE À EN PERDRE LA RAISON
OUIR240112 hiverEt pour ce soir, la morosité gagnant. Je n’aime pas dire, même penser que c’était mieux avant, et avec beaucoup d’effort , je me persuade que ce sera mieux après, sauf que je ne sais pas quel après, ou quand commencera l’après, tant il y a d’empêcheurs de laisser libre cours au temps qui inventent des après qui ressemblent à avant en pire. Je n’aurais jamais imaginé que le redoublement puisse encore être à l’ordre du jour, mais ce ne (...)
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Un frisson dans la nuit : La grosse caisse
publié le 6 juin par bidonfumant
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Rediffusion
Un conte à régler de Josu Arteaga...
Un conte de Noël, pas vraiment... sauf si vous pensiez offrir une batterie, une batterie rock.La grosse caisse Par Josu Arteaga, l"auteur de l’histoire universelle des hommes chats
La grosse caisse -
un frisson dans la nuit : un hamster à l’école
publié le 23 mai par bidonfumant
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Il parait que l’école va mal, tu m’étonnes... Si l’école où je suis allé, a généré gens qui sont capables de voter pour les tristes sires, champions des sondages. Ç a fait donc longtemps qu’elle va mal et qu’elle fait mal, l’école.
À propos d’un hamster à l’école de Nathalie Quintane
ou
la première fois que je suis entrée
dans la salle des profs, à la
première minute, dans les premières
secondes, et sans a priori particulier
la première phrase qui m’est venue,
là, y a rien qui va être possibleou
Madame, Madame, finalement, c’est quand qu’on va profiter de la vie ?
Avec un certain nombre (compter m’épuise et puis j’aime bien Fernand Raynaud) d’interprétations de school’s out et un rap éponyme.
À la fois pour savoir ce qui s’y passe dans l’Éducation Nationale, mais aussi pour tenter de se remémorer ce que l’ÉDUCATION NATIONALE a fait pour nous ou de nous.
Voilà donc pour un petit détour dans le livre de Nathalie Quintane, un hamster à l’école. Une chronique de ce qui se passe dans l’éducation nationale, celle qui n’habite pas le rectorat, qui se fait au jour le jour, une école de la république qui n’est plus, ne serait-ce qu’à l’image de (...)
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un frisson dans la nuit : Ground zero
publié le 16 mai par bidonfumant
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Puisque c’est le festival de Cannes et peut-être que ce film ne sera pas présenté encore une fois, une rediffusion. Trouver les moyens d’obtenir ce film et le diffuser le plus possible.
Cette rediffusion aussi pour annoncer un concert au taquin mercredi soir, 21 mai à 21h
FREDDY TAQUINE : Musique éthiopienne + No Noise No Reduction
Je ne peux en dire plus sur la programmation et du guest, mais venez nombreux, il y aura du supplément d’âme et de la magie.Prouesse cinématographique autant que besoin vital de documenter un massacre d’ampleur alors qu’Israël interdit le territoire aux journalistes étrangers, « Ground Zero » entend rendre audible la parole des Palestinien·nes de Gaza et garder la trace de ce qui est vécu depuis sept mois.
Ce témoignage hors norme, croisant les regards de 20 cinéastes pendant 90 minutes, est porté par l’un des plus importants cinéastes de la diaspora palestinienne, un enfant de Gaza, le réalisateur Rashid Masharawi. Pour lui, filmer, c’est exister. I
GroundzeroTrailer ground zero
Depuis le point zéro -
un frisson dans la nuit : Soutienir l’ISDAT
publié le 10 mai par bidonfumant
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Quoiqu’on en pense...
IsdatL’ISDATconnaît depuis 2022 une crise profonde à cause de sa situation financière et d’une gouvernance dysfonctionnelle. Cette crise s’accentue dans un contexte d’austérité budgétaire généralisée : en 2025, le budget de l’ISDAT est amputé de plus de 500.000 euros par ses financeurs publics. Les conséquences annoncées sont inacceptables : privation de moyens pédagogiques pour les étudiant·es, hausse des frais d’inscription, remise en question des modalités d’enseignement, suppression et dégradation de nombreux emplois.
Face à cette situation, pas de résignation, mais la lutte ! Étudiant·es et personnels de l’ISDAT se mobilisent pour défendre leur école.
Venez nombreux·euses le 14 mai pour soutenir l’ISDAT à (...)