Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de e prendre ce son et de la passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio.Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission , outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces de lecture de proposition musicale.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
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un frisson dans la nuit : Mai 62 en février 21
publié le 27 février par bidonfumant
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Voilà un mauvais pli qui ne se perd pas ou jamais, c’est le temps des vacances. Et me voilà fort dépourvu quand le temps des vacances arriva.
Donc, pas de frisson dans la nuit disponible et le niveau d’idée au niveau des paquerettes voire du pissenlit en cette période particulièrement délétère.
C’est vraiment un mot chouette délétère. J’essaie de l’employer le plus possible, il a un sens tellement ouvert et toutes les choses qui me rendent malade sont si nombreuses que ne pas le dire au moins une fois par jour reviendrait à dire que nous ne sommes pas à l’écoute du monde et des gens qui l’habitent. Il y a aussi obsolète dont j’abuse, mais dont l’emploi est plus délicat et que dire d’islamo-gauchisme, non pas aujourd’hui, je suis sous le choc, non là, j’exagère, on l’entend si souvent qu’on n’y fait plus attention, comme quand on dit que le gouvernement israélien a une politique délétère (le revoilà) concernant les Palestiniens et que vous vous faites traiter d’antisémite.Télécharger (mp3 - 154.8 Mo) / Popup
Revenons à nos vacances et ma vacance. Pas d’émission en cette fin février serait de l’ordre du possible. Mais, je commence à comprendre comment fonctionne le monde et je ferai donc une annonce publicitaire pour deux choses au moins aussi confidentielles que l’est cette émission, un frisson dans la nuit.
Revenons à nos vacances et ma vacance. Pas d’émission en cette fin février serait de l’ordre du possible. Mais, je commence à comprendre comment fonctionne le monde et je ferai donc une annonce publicitaire pour deux choses au moins aussi confidentielles que l’est cette émission, un frisson dans la nuit.
Donc d’une part une webradio qui s’appelle 49,3, nom d’une vieille (...) -
Un frisson dans la nuit : Revue 19
publié le 21 février par bidonfumant
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La revue 19 suit la revue 17.
Bien que rien ne nous y préparait.Télécharger (mp3 - 137.9 Mo) / PopupLa revue 19 a une couverture aussi jaune que la couverture de la revue 17 est rouge.
Le revue 19 est sortie ne 2018 alors que la 19 est sortie en 19.
Que soit la 17 ou la 19, elles ont le même éditeur un thé chez les fous.
La hauteur de la revue 19 est plus petite que celle de la revue 17.
19 est aussi moins épaisse et moins large.
Faut-il y voir un signe, je ne crois pas.
La revue 19 a moins de pages que la revue 17, ce qui était prévisible, en comparant les dimensions.
Quant au sommaire. Ben, il y a beaucoup de choses comme dans la 17.
Je dirais même comme en 17, (...) -
Un frisson dans la nuit : The last silent movie Susan Hiller
publié le 12 février par bidonfumant
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« La langue est une raison humaine qui a ses raisons et que l’homme ne connaît pas. » Claude Levi Strauss
Télécharger (mp3 - 157.9 Mo) / PopupÀ Toulouse, il y avait un parcours d’art contemporain, un truc institutionnel qui fait très Cartier, pas le genre quartier barrio, mais plutôt cartier diamant. Mais peu importe, ça n’empêche pas de goûter au plaisir de voir des choses fortes.
Une installation tournait autour de Susan Hiller une artiste américaine qui réalise depuis des décennies des installations. Ici, c’est le film the last silent movieet ce que ça a déclenché de voir un tel film.Un écran noir où n’apparaissent que des sous-titres traduisant le son des langues inconnues, en voie de disparition ou disparues.
Dans le coin gauche de l’écran, le nom de la (...) -
un frisson dans la nuit : Il manque, Tarkos...
publié le 5 février par bidonfumant
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« Je suis un poète qui défend la langue française contre sa dégénérescence, je suis un poète qui sauve sa langue, en la faisant travailler, en la faisant vivre, en la faisant bouger."
« Je suis un poète qui défend la langue française contre sa dégénérescence, je suis un poète qui sauve sa langue, en la faisant travailler, en la faisant vivre, en la faisant bouger."Télécharger (mp3 - 153.4 Mo) / PopupLa poésie reste confidentielle quoi qu’on fasse ou qu’on dise. Pourtant..
C’est comme la politique, on sait dans quelle direction est le mieux. Ne pas tomber amoureux du pouvoir (même le plus infime), être responsable mais pas au sens trivial de Macron et prendre en compte l’autre, tous les autres.
Bref, c’est pour ça que j’abuse de la poésie, de la marge ,des musiques inécoutables, d’un art qui ne montre rien et toute cette sorte de décalages.
De toute façon, il (...) -
un frisson dans la nuit :Le poète en oiseau immortel
publié le 29 janvier par bidonfumant
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Télécharger (mp3 - 136.6 Mo) / PopupQue l’émotion reste centrale dans tout discours militant, j’en accuse réception. ET je trouve ça plutôt ordinaire, même si la raison est souvent avance comme gage de sérieux.
Sans être d’une sensiblerie extrême, mais il semblerait que ça s’aggrave pour moi, il m’arrive d’avoir quelques frissons en regardant un film ou en lisant ou écoutant une poésie ou certains textes tendus, et peut-être même les yeux qui piquent et se mouillent.
Sensiblerie, possible.
Mais il y a une chose que je ne supporte plus, c’est quand je ne suis pas d’accord ou méfiant avec quelque chose, c’est ce quelque chose a été mal présenté pédagogiquement.
Je veux bien ne pas tout comprendre mais je ne suis (...) -
un frisson dans la nuit : 7 janvier 2021 Jeanne dark et moi...
publié le 23 janvier par bidonfumant
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Vendredi 22, j’ai envoyé par erreur une ébauche du montage de cette émission, la partie censée figurer la ville dans la soirée.
Il manque bien entendu tout le reste.
Je ne suis pas contre l’expérimental et le son débridé mais là ce n’était pas voulu/
J’ai toujours eu du mal à ranger mes affaires et sur une émission qui évoque en partie l’adolescence, c’est plutôt bon signe, à condition de n’avoir rien contre les adolescents.Interaction avec ce spectacle dans la rue (depuis le festival groland et un concert, je n’ai rien vu durant ces six derniers mois). C’est peut-être ce manque qui m’a dissipé durant ce spectacle et que j’ai sans arrêt dérapé vers mon adolescence qui n’a en soi aucun intérêt.
Par une sorte d’abus comparatif, je dirai que mon adolescence est plus proche de celle de mon grand-père que celle d’un jeune d’aujourd’hui, même catho.
Façon de dire que j’ai trouvé la scénographie de Jeanne Dark, intéressante, la performance de la comédienne éblouissante, quant au texte, mon attention déficiente est certainement responsable de mon intérêt moyen.
Il faut dire qu’il n’y avait même pas le téléphone dans les années 70 .
Il est une (...)
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