un frisson dans la nuit
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Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
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un frisson dans la nuit : papiripar
publié le 12 mars 2021 par bidonfumant
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Papiripar festival
+ radio
Un résumé d’une heure sur les 100 heures de programme. En réalité, je ne l’ai fait qu’à partir de 10 heures en improvisant et faisant appel au peu de mémoire qu’il me reste.
J’ai en fin de collage, insisté un peu trop (histoire de dosage)sur la ursonate computer de Wladimir Schall, mais c’était une surprise totale que Schwitters soit ainsi revisité, confirmant que rien ne se perd, tout se transforme et au final crée...
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un frisson dans la nuit : Mai 62 en février 21
publié le 27 février 2021 par bidonfumant
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N’oubliez pas le PAPIRIPAR du 4 au 7 mars à Hambourg, c’est allemand, bien sûr, mais les créations sonores radiophoniques transcendent assez souvent les langues, laissez trainer une oreille sur leur radio .
traduction approximative
Voilà un mauvais pli qui ne se perd pas ou jamais, c’est le temps des vacances. Et me voilà fort dépourvu quand le temps des vacances arriva.Donc, pas de frisson dans la nuit disponible et le niveau d’idée au niveau des paquerettes voire du pissenlit en cette période particulièrement délétère.
C’est vraiment un mot chouette délétère. J’essaie de l’employer le plus possible, il a un sens tellement ouvert et toutes les choses qui me rendent malade sont si nombreuses que ne pas le dire au moins une fois par jour reviendrait à dire que nous ne sommes pas à l’écoute du monde et des gens qui l’habitent. Il y a aussi obsolète dont j’abuse, mais dont l’emploi est plus délicat et que dire (...)
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un frisson dans la nuit : 7 janvier 2021 Jeanne dark et moi...
publié le 23 janvier 2021 par bidonfumant
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Vendredi 22, j’ai envoyé par erreur une ébauche du montage de cette émission, la partie censée figurer la ville dans la soirée.
Il manque bien entendu tout le reste.
Je ne suis pas contre l’expérimental et le son débridé mais là ce n’était pas voulu/
J’ai toujours eu du mal à ranger mes affaires et sur une émission qui évoque en partie l’adolescence, c’est plutôt bon signe, à condition de n’avoir rien contre les adolescents.
Interaction avec ce spectacle dans la rue (depuis le festival groland et un concert, je n’ai rien vu durant ces six derniers mois). C’est peut-être ce manque qui m’a dissipé durant ce spectacle et que j’ai sans arrêt dérapé vers mon adolescence qui n’a en soi aucun intérêt.
Par une sorte d’abus comparatif, je dirai que mon adolescence est plus proche de celle de mon grand-père que celle d’un jeune d’aujourd’hui, même catho.
Façon de dire que j’ai trouvé la scénographie de Jeanne Dark, intéressante, la performance de la comédienne éblouissante, quant au texte, mon attention déficiente est certainement responsable de mon intérêt moyen.
Il faut dire qu’il n’y avait même pas le téléphone dans les années (...)
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un frisson dans la nuit : seven up, la boisson du siècle d’avant
publié le 2 janvier 2021 par bidonfumant
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BONNE ANNÉE !
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Un frisson dans la nuit. Doors encore et toujours
publié le 25 décembre 2020 par bidonfumant
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Émission de Noël, ce qui veut dire vieille émission recyclée.
Et un prétexte à écouter les Doors, et d’en dire n’importe quoi...
Doors : Ce nom renvoie à un livre d’Aldous Huxley, The Doors of Perception, où l’auteur narre son expérience des drogues, titre lui-même inspiré d’un vers du recueil de poème Le Mariage du Ciel et de l’Enfer, de William Blake : « If the doors of perception were cleansed, every thing would appear to man as it is : infinite » (« si les portes de la perception étaient purifiées, toute chose apparaîtrait à l’homme telle qu’elle est : infinie »).
Il y a le connu , l’inconnu et entre il y a la porte et c’est ça que je veux être , la porte. Moi aussi,sans doute
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un frisson dans la nuit : la fin de l’été
publié le 18 décembre 2020 par bidonfumant
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Une adaptation de "la fin de l’été" de Françoise Longeard par Luis Mendez
Jill et Luce sont femmes ; Jill et Luce sont filles, elles sont sœurs.
En ce 10 septembre, quelques jours à peine après la mort de leur mère, les voilà seules dans la maison familiale.
Pour Jill et Luce, cette « fin de l’été » est, d’abord, la disparition sidérante de l’enfance ; une enfance éclairée par la présence aimante et créative d’un père, assombrie par la froideur d’une mère, hantée par la disparition d’un frère aîné.
Malgré leur histoire commune et leur tendresse partagée, Jill et Luce ont engagé leurs vies sur des voies radicalement différentes.
C’est parce qu’elle croit en « l’humain » que Luce trouve la force de ses combats et de ses révoltes…
Pour Jill, au contraire, seul le monde animal, et particulièrement celui des oiseaux, semble digne (...)