Nous recevons avec enthousiasme ceux qui peuvent nous apporter un témoignage sérieux, des documents complémentaires ou une contradiction constructive. L’Histoire permettant de débrouiller l’actualité, nous suivons son fil rouge, depuis la brillante première civilisation mexicaine, soigneusement occultée, et pour cause (!), jusqu’à Fukushima, ou encore notre "Sénat pris d’Assault", en passant par le siècle dit des Lumières, où brillait particulièrement Beaumarchais le négrier, la Révolution industrielle construite sur l’esclavage et le pillage, la Commune et sa grande Louise, jusqu’aux Camps de concentration, de Pologne, de France ou de Sibérie, jusqu’à la Françafrique, qui se porte bien merci, continuant de fournir notre confort à coup de pillage et d’élections truquées, quand ce n’est pas à coup de génocide....
historique des aventures électro-nucléaires françaises de ce siècle, à la veille (???) des premiers essais du fantasmagorique EPR de Flamanville... Prêts ? Partez !
On pourrait en rire... Souhaitons qu’il y ait seulement de quoi.....
avec la poésie amère de Maurice Bénin en accompagnement....
J’ai même rencontré des profs heureux-ses !
Oh.... il y a longtemps... bien sûr.....
"la nostalgie n’est plus ce qu’elle était".. ; disait une grande dame...
pour attaquer la rentrée avec optimisme et quelques sourires, voici pêle-mêle des rêves et des souvenirs, des recettes aussi...le tout expérimenté en équipe ou en solo.. Mais dans sa classe, on n’est jamais tout(e) seul(e)....
un des textes dits "modernes" les plus anciens connus date de 1854, et Contre-Histoire l’a évoqué souvent... Mais le flambeau du respect de la vie et de notre planète s’est transmis à travers les siècles et les générations, depuis les Indiens d’Amérique du Nord jusqu’à Greta Thunberg... Aujourd’hui, les enfants des écoles primaires enseignent l’écologie à leurs parents...
Mais le capitalisme a étouffé la sagesse au nom de la modernité... La génération montante a du souci à se faire, et notre cupidité lui laisse un rude programme...
On peut se ressourcer à la philosophie Duwamish, à celle de Giovanni di Bernardone, que nous a transmises Albert Jacquard, aux souvenirs d’Henri Jeanson... Tous ces chemins mènent à l’urgence actuelle...
Mais Henri Jeanson, puis ses collègues du "Volatile" (...)
On pouvait parler de la mort de Nahel, parce que "On n’est pas sérieux quand on a 17 ans"...et qu’on pouvait donc lui reprocher quelque chose (la conduite sans permis !)....
Mais Alhoussein, tué d’une balle dans le dos quand il allait travailler dans un hypermarché, à 4 h du matin, au volant de sa voiture assurée, et son permis en poche... Chhhhhhhhhut ! On ne pouvait rien reprocher à ce jeune homme de 19 ans. Et pourtant la police, convaincue qu’un jeune guinéen, roulant à 4 h du matin en voiture à proximité d’un quartier, ne pouvant pas être innocent, a voulu y mettre bon ordre....
Le secret de cet assassinat, bien gardé par toute la presse (sauf par David Perrotin et son équipe), a été comme une seconde mort d’Alhoussein : c’était comme s’il n’avait jamais existé...
On se souvient des procès, surtout celui de 1976... L’extraordinaire mobilisation de toute la gauche française...
mais peut-être cette mobilisation contre un énorme erreur judiciaire a-t-elle laissé l’impression d’un moment de démocratie "directe" unique, sans pour autant révéler le personnage de Pierre Goldman ?...
Ses deux livres ("Souvenirs obscurs d’un juif polonais né en France",paru au Seuil et "L’ordinaire mésaventure d’Archibald Rapoport", édité chez Julliard), aident à mieux rencontrer le personnage ; ce qui a fait Pierre Goldman (pour les Souvenirs obscurs), sa famille et l’Histoire, et ce que la société a fait de Pierre, le révolutionnaire, jumeau rêvé de Marcel Rayman (du réseau de résistance de Missak Manouchian) et de Che Guevara .
Le film recueille tous les suffrages... sauf ceux de Mme Christiane Succab-Goldman, la veuve de Pierre, qui a dû longtemps payer des indemnités à un blessé du Bd Richard-Lenoir, témoin partial et (...)
Descriptif
Depuis 13 ans Contre-Histoire se fait un malin plaisir (ou un secret chagrin) à compléter à sa façon les livres d’Histoire des établissements scolaires de la République, avec des informations soigneusement vérifiées et référencées.