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occuper la nuit du 29 janvier au 4 février
publié le 28 janvier 2024 par bidonfumant
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TOUS LES JOURS DE UNE HEURE À UNE HEURE
Le prix de l’anarchie est une théorie algorithmique des jeux qui évalue la perte d’efficacité d’un système en raison de comportements individualistes, comme des mesures de fluidification du trafic routier mises en échec par quelques automobilistes inattentifs ou irrespectueux.
Dans un futur proche, la performante smart city du zéro déchet et à énergie positive a fait place à la smart society, qui gère les activités humaines grâce à l’énorme masse de données émise volontairement par chaque citoyen, de façon à optimiser son quotidien, devancer ses souhaits, écarter les difficultés avant leur survenue et gérer harmonieusement la société.
À quel moment sortons nous de la gestion du commun pour entrer dans la dictature de la communion et quel prix vont devoir payer ceux qui s’éloignent de celle-ci ?
Charles Eckert le prix de l’anarchie éditions kraft
Le prix de l’anarchie
Lundi
Très nostalgique et certainement très vieillot. première écoute dans un salon d’écoute de l’ancien centre culturel rue croix Baragnon, un endroit que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaitre.
Megalopolis Herbert Pagani
Une comédie musicale de 1972, qui décrit un futur qui ressemble un tantinet à notre présent.
Si on dépasse le côté kitsch, une bonne utilisation du son dans la composition.
Jean Claude Vannier est peut-être certaines orchestrations
Mardi
Notre besoin de consolation est impossible à rassasierr Denis Dufour
En 1989, le compositeur français Denis Dufour achève la composition d’une œuvre de musique acousmatique, d’une durée de 67 min 22 s, intitulée Notre besoin de consolation est impossible (...)
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occuper la nuit du 20 au 27 janvier 24
publié le 21 janvier 2024 par bidonfumant
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TOUS LES JOURS, UNE HEURE À UNE HEURE
LUNDI
ANTHOLGY of Noise première partie
Anthology of noise première partie : comme son nom l’indique.
MARDI
Sukitoa O Namau
Les électroacousticiens marocains ne sont pas nombreux et en voilà une excellente Sukitoa O Namau
MERCREDI ET VENDREDI
CANTI MAGNITICITI
JSAMEDI
JOURNAL D’UNE APPARITION, ça m’étonnerait que ce soit l’apparition de la vierge à Fatima ou Lourdes...
DIMANCHE
FESTIVAL MIMI 86 ET 88
Je ne sais si ce festival existe toujours, mais j’y ai passé de bons moments...
(...)
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occuper la nuit du 14 au 20 janvier 24
publié le 14 janvier 2024 par bidonfumant
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TOUS LES JOURS UNE HEURE À UNE HEURE
A P., vaguement réprobateur, qui lui demande pourquoi elle joue au loto, sa mère répond "c’est juste pour attendre quelque chose" Annie Ernaux
Mercredi 17 janvier un rdv
LUNDI
Women in electronics
MARDI
L’inquiètude : deuxième partie du discours aux animaux de Valère Novarina
"Cette enfance malhabile me préparait on ne peut plus mal à la vie qui va suivre : car pour l’homme
– sachez ça ô enfants - l’enfance est très mauvaise formation."
MERCREDI
Alcools, toujours bon à prendre devant cette injonction ( de tendance bobo) de ne point boire en ce janvier 24.
Quelques alcools
D’abord l’alcool tue de Bernard Parmégiani et Boris Vian
ensuite Bourvil l’eau ferrugineuse
puis Gin tonique abordable par pneu
et encore une Miss Whiskey de Myat Lay
et bien sûr, ça n’empêche pas une vodka de Coltrane
et le captain beefheart avec the clouds are full of (...)
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OCCUPER LA NUIT DU 8 AU 14 JANVIER 2024
publié le 7 janvier 2024 par bidonfumant
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TOUS LES JOURS UNE HEURE À UNE HEURE.
LUNDI`
Marylin Buck, troisième partie. La poésie de Marylin Buck
MARDI
Musica urgente. À suivre sur bandcamp.
MERCREDI
DÉRIVE
Puisque ça dérive, ça va n’importe où, ce qui n’est pas obligatoirement désagréable si on aime la poésie sonore et le bruit.
JEUDI
Laos remixLaurent Jeanneau
VENDREDI
John Giorno
SAMEDI
Presque rien. Dès qu’apparait la locution presque rien, Luc Ferrari ne peut -être loin.
DIMANCHE
Autel #3
(...)
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Occuper la nuit : du premier janvier au 7 janvier 2024
publié le 31 décembre 2023 par bidonfumant
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TOUS LES JOURS UNE HEURE À UNE HEURE
J’ai un peu fait la guerre, comme tout le monde.J’ai passé une heure ou deux étendu dans l’herbe à plat ventre, au bord d’une rivière, à tirer des coups de fusil.Je suppose qu’on appelle cela se battre.Je me suis donc battu, au printemps de l’an 40. Depuis longtemps, je me disais que cette chose- là finirait par arriver.Rien que d’y penser me faisait froid aux tripes. Je manque de dispositions pour la bagarre. Plutôt pétochard, pour tout dire. Le métier des armes, c’est bon pour les baroudeurs, les sabreurs, les gars qui en veulent, qui en redemandent, les intrépides, les impavides, les types qui ont du cœur et des couilles.Chacun ses plaisirs. Qu’ils s’en mettent jusque-là, de l’héroïsme, les mâles à gueule vache et à cuir dur.C’est leur affaire.Je cède ma part
LUNDI
Autour des phonographies Taïwan de Yannick Dauby avec des musiques d’aujourd’hui de Taïwan
MARDI
Association de musiques, du moins je le crois
MERCREDI
Autour d’Hyvernaud
On a une trop longue habitude de la soumission. On a tant obéi pendant des siècles, tant accumulé de fatigue, on s’est tellement usé à des tâches misérables, tellement accoutumé à l’étroitesse, à la sévérité, à la grisaille de la vie, qu’on finit par se satisfaire de ce qu’on est et de ce qu’on a. Cet ordre qu’il faudrait changer est si lourd et si ancien qu’on perd courage. Il n’y a qu’à rester à sa place. C’est déjà bien beau d’avoir ça. Une petite place à soi, avec du travail à (...)
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Occuper la nuit du 17 au 23 décembre 24
publié le 17 décembre 2023 par bidonfumant
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TOUS LES JOURS UNE À HEURE
S’envolent les colombes
Se posent les colombes
Prépare -moi la terre que je me repose
Car je t’aime jusqu’à l’épuisement
Ton matin est un fruit offert aux chansons,
Er ce soir est d’or
Nous nous appartenons lorsque l’ombre rejoint son ombre dans le marbre
Je ressemble lorsque je me suspends
Au cou qui ne s’abandonne qu’aux étreintes des nuages.
Tu es l’air se dénudant devant moi comme les larmes du raisin.
L’origine de l’espèce des vagues quand elles s’agrippent au rivage
Et s’expatrient
Je t’aime, toi le commencement de mon âme, toi la fin
S’envolent les colombes.
Se posent les colombes.
Mon aimé et moi nous sommes deux voix en une seule lèvre
Moi j’appartiens à mon aimé, et mon aimé est à son étoile errante
Nous entrons dans le rêve mais il s’attarde pour se dérober à notre vue
LUNDI
Nous serons tout.
C’est dans les paroles d’une chanson qui ne semble aujourd’hui lus aucun sens.
Mais sait-on jamais, une fois tous les vieux conservateurs disparus su cette chanson ne reviendrait pas actuelle.
MARDI
Fellini, quelques extraits de film en VO, afin d’écouter la compilation de Carla Bley consacré aux musiques de Fellini
Mercredi
S’envolent les colombes
Jeudi
Violoncelles, comme on pourrait sans douter du violoncelle bizarre ou classique mais là, à cet instant, j’ai oublié ce qu’il y a dedans.
Vendredi
Nouvelles
Ça commence avec bang on a can all stars big beautiful dark and scary,et puis ça continue gentiment avec chapelier fou, la guerre des nombres ,une petite dose d’Hector Zazou (...)