Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
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un frisson dans la nuit : In girum imus nocte et consumimur igni
publié le 26 janvier 2024 par bidonfumant
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Rediffusion d’une émission du 9 novembre 2019
premier anniversaire des rond-pointsDéjà cinq ans, et c’est de…L’extrême centre gouverne... Et ça fatigue, ce clin d’œil permanent aux têtes chenues. D’autant plus que ma tête est aussi chenue qu’un arbre dont la cime se dépouille et que je trouve ce clin d’œil de plus en plus obscène, de plus en plus vulgaire et méprisant. Le vieux qui n’a de fonction que d’être un bulletin de vote.
Comme je ne suis pas inscrit sur une quelconque liste, je ne risque pas de glisser...glisser un bulletin de vote ou qu’un directeur d’Ehpad se sert d’une procuration que j’aurais signée pour avoir un verre de vin en plus ; me voilà, rassuré. Mais, ça ne changera pas le monde. Donc retour vers le rond-point et tourner autour juste à la perte de sens. Et après on verra...
Bon anniversaire aux ronds-points
Il fut un temps où le rond point n’avait pas été inventé.
Jean Michel EspitallierIn girum imus nocte et consumimur igni
Rond-pointC’est en lisant le livre de laurent jeanpierre InGirum, les leçons politique des ronds-points que j’ai retrouvé cette phrase qui est le titre d’un film de Guy Debord.
In girum imus nocte et consumimur igni.
Nous tournons en rond dans la nuit et nous sommes consumés par le feu. Le film bien sûr est comme le fut la société du spectacle, une description de la société de consommation et de l’aliénation capitaliste. Et dont la société d’aujourd’hui est devenu le modèle parfait, société du spectacle de la consommation et (...) -
Édition "sans nom" dans un frisson dans la nuit
publié le 15 décembre 2023 par bidonfumant
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Édition sans nom, édition d’ici...
Je n’y comprends plus rien. talion h’kaärd les chroniques maladives de la Chandre
Émission de noël choisie par le juke box canal sud.
Nouvelle publication de cette maison d’édition pour ce mois de décembre : une bande dessinée,
la dernière illusionUne nuit, au bout de la nuit, sur une terrasse de la place Belfort.
Ça fait si longtemps. Une nuit, au bout de la nuit, pas vraiment, d’abord je n’avais pas abusé de bière sans alcool, et puis c’était cet été et le bout de la nuit n’existait plus ou était tout au mieux un pur fantasme.Sans nomUne nuit de cet été où le covid se faisait plus sage, à la terrasse d’un bar (...)
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UN frisson dans la nuit : le tribunal des mots 1
publié le 8 décembre 2023 par bidonfumant
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Dans notre précipitation à mesurer l’historique, le significatif, le révélateur, ne laissons pas de côté l’essentiel : le véritablement intolérable, le vraiment inadmissible : le scandale, ce n’est pas le grisou, c’est le travail dans les mines. Les " malaises sociaux " ne sont pas " préoccupants " en période de grève, ils sont intolérables vingt-quatre heures sur vingt-quatre, trois cent soixante-cinq jours par an. George Pérec Interroger l’habituel
Tribunal des motsEnsauvagement
Antisémitisme
StorytellingPour une prochaine émission, vraiment (et pas comme prétexte) sur le tribunal des mots ...
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un frisson dans la nuit : travaux discrets
publié le 1er décembre 2023 par bidonfumant
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Une rediffusion de juin 23 et une idée de cadeau de Noël, si vous aimez offrir du presque rien qui interroge.
J’ai trouvé une sorte de carnet avec la reliure en haut, un bloc peut-être l’appelle -t-on, un bloc genre A5 le double d’un bloc d’un policier anglais, enfin un policier de série anglaise qui n’a pas d’arme, mais un carnet et qui finit par toujours terminer sa journée par une pinte.
Je trouve donc ce bloc étrange qui n’est pas vierge de texte, je ne peux donc m’en servir comme un bloc, mais pour y écrire la liste des courses ou de mes bonnes résolutions à venir qui sont les mêmes depuis si longtemps. Ce dont je suis sûr, c’est que comme tous les blocs qui sont reliés par de la colle, les pages finissent par se détacher. Il n’y a pas de numérotation sur les pages et il manque la page de garde ou la couverture.
Une phrase par page bien centrée au milieu de la page.BlockPiste 16arnaud romet/nombreux dehors -
Un frisson dans la nuit : Et plus si affinités
publié le 24 novembre 2023 par bidonfumant
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Une vieille émission sur un concert qui a eu lieu un jour.
Mais quand il faut couper du bois ,il y a moins de temps pour essayer de faire de la radio.
Et oublier, la sécurité sociale, les allocations familiales et la situation internationale...
Plus facile d’oublier quand on coupe du bois que quand on fait de la radio.
N’importe quoi, ces états d’âme... -
Un frisson dans la nuit : Les Talibans n’aiment pas la musique
publié le 10 novembre 2023 par bidonfumant
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Ce titre, les talibans n’aiment pas la musique, est apparu comme une paraphrase d’un petit livre édité par inventaire invention en 2005
Les talibans n’aiment pas la fiction.
De ce titre, je me suis demandé ce que pouvait bien aimer les Talibans, pas grand-chose sinon Dieu, ce qui est étrange puisque Dieu ne les aime pas (enfin, c’est ce que Dieu m’a dit…).
Dans ce livre, les talibans n’aiment pas la fiction, mais ils semblent apprécier l’uchronie."Mon chéri, tu es comme l’Amérique / À toi la faute, à moi l’excuse. » Landay d’une femme pachtoune
Je lirai donc quelques textes tirés de ce recueil.
Ce n’est qu’une lecture hasardeuse, des textes en forme de carte postale, comme celles qu’on ramène de ses voyages que l’on montre parfois à d’autres, qui s’ennuient en les regardant et qui veulent vite passer à autre chose. Les voyages n’intéressent que ceux qui les font.
Vivre en Afghanistan est inimaginable.TalibanEt puis se posa la question de la musique, ma plus grande curiosité.
Pas facile puisque les Talibans qui ne sont pas des mauviettes (et pourtant, ils ne jouent pas au rugby) cassent tous les instruments de musique (...)