Contre histoire ?

"Parle à mon Gilet Jaune, mes oreilles sont bouchées !..."
La rue était noire de jaune....

Depuis des mois on nous répète que le mois d’après, on nous dira tout, qu’on saura tout, qu’on verra la voie royale s’ouvrir devant nous, l’avenir radieux, le salut et la fraternité...
Mouais...
En attendant, on peut se plonger dans l’album des Gilets Jaunes, qui nous racontent, photos à l’appui, ce qu’est la lutte, depuis novembre 2018... Révisons donc, il est temps, ça peut servir !
Le livre-album s’appelle "La rue était noire de jaune", et retrace les manifs et les actions du Comité de Soutien 31 aux Gilets Jaunes (Editions du Croquant)
Musique en clin d’oeil à nos amis Républicains... Espagnols, avec la belle voix de Vanessa Hachloum et les textes de Jacques Marchais.
L’émission ne couvre que le tiers de l’ouvrage, le meilleur vous reste à découvrir...

Virus et violence policière nous oppressent , et les autres gâteries du capitalisme productiviste et prédateur semblent passer au second plan ...

mais les menaces nucléaires demeurent et prospèrent... Ouh ! ouh ! méfions-nous !

Rêves de guerre civile....

Auditeurs de Canal Sud, lucides et informés, vous avez sans doute déjà pris connaissance de l’affaire des dialogues policiers racistes et pousse-au-crime, découverts sur Whatsapp, dialogues de ces policiers que le pouvoir protège… Des policiers jeunes et moins jeunes, très calmes s’expriment sur un ton qui marque leur réflexion, leur conviction : ils rêvent et préparent la guerre civile… Sarkozy, Hollande, Macron, Castaner ont armé et assermenté ces serviteurs de l’État, qui ne rêvent que de guerre totale contre ces plus faibles qu’ils sont payés pour protéger…
Je n’arriverai pas à vous lire tout l’article de Camille Polloni sur Mediapart, mais voici le lien pour découvrir les lendemains que nous préparent ces « gardiens de la paix ».
https://soundcloud.com/arte-radio-1/gardiens-de-la-paix
Le titre de l’article est : « Bougnoules », « nègres », (...)

Puisqu’on déconfine paraît-il, révisons un peu les recettes, ça peut servir !!!

D’Ovide à Célia Bonier, en passant par le Figaro et Colette Renard, il y en a pour tous les goûts ! Bon appétit !

et pour les indispensables pauses, j’ai pensé à Catherine Sauvage, Colette Renard donc (beaucoup (!), Serge Reggiani, et bien sûr Anne Sylvestre....

Anarchie toujours ! de Gracchus Babeuf à Francisco Ferrer, en passant par Haymarket square, Proudhon bien sûr, Bakounine, Kropotkine, Louise Michel...et d’autres encore... pour les théoriciens...

et les acteurs lumineux et les victimes "pour l’exemple" du capitalisme vorace, peureux et sanguinaire : Tancrède Ramonet nous entraîne dans un film superbe et terrible (édité par Arte-Editions). On y découvre un Clémenceau inconnu, et un Churchill aussi impressionnant, Arsène Lupin en personne (Marius Jacob !), et des "colonies" surprenantes à faire rêver...

Et ce n’est pas fini !
L’imagination au pouvoir ! Sans armes ni autoritarisme : ça rebondit en 2020 : La Coop-cycle : à Lille, à Nantes, à Lyon, en Espagne (La Pajara), en Belgique (Molenbike) rien que pour l’activité de livraison, le virus de l’indépendance se répand !... Et se multiplie ! Avanti !

Pour la musique, on retrouvera Ridan, (...)

en partant de la mythologie, on arrive à la Vème dite république, et c’est très, très triste..

alors on a fait un effort pour vous garder à l’écoute avec des pauses musicales espéciales, merci au spécialiste illuminé qui aura peut-être réussi comme ça à ce que les calculs astronomiques de Monique Pinçon-Charlot et son Michel Pinçon de mari soient accessibles à toutes les oreilles...
Car ces deux-là ont mis au clair quelques unes des opérations financières scandaleuses faites sur notre dos et surtout sur celui des plus faibles, pour s’assurer le soutien du gotha du fric dans ce pays trop riche où le pouvoir préfère gaver les grands patrons jusqu’à la nausée plutôt que d’appliquer la Déclaration Universelle des Droits Humains", que, paraît-il, ce pays justement aurait inventée... Jeter chaque année aux grands escrocs industriels, du luxe et de la "communication" des (...)