Nous recevons avec enthousiasme ceux qui peuvent nous apporter un témoignage sérieux, des documents complémentaires ou une contradiction constructive. L’Histoire permettant de débrouiller l’actualité, nous suivons son fil rouge, depuis la brillante première civilisation mexicaine, soigneusement occultée, et pour cause (!), jusqu’à Fukushima, ou encore notre "Sénat pris d’Assault", en passant par le siècle dit des Lumières, où brillait particulièrement Beaumarchais le négrier, la Révolution industrielle construite sur l’esclavage et le pillage, la Commune et sa grande Louise, jusqu’aux Camps de concentration, de Pologne, de France ou de Sibérie, jusqu’à la Françafrique, qui se porte bien merci, continuant de fournir notre confort à coup de pillage et d’élections truquées, quand ce n’est pas à coup de génocide....
L’anniversaire tapageur du tsar du XXIème siècle ...
nous fait prendre conscience que le « cadeau » d’anniversaire dudit tsar, le 7 octobre 2006, fut… la mort d’Anna Politkovskaïa.
N’oublions pas Anna, qui a pris tous les risques, jusqu’au 6 octobre 2006, pour que le monde sache
le corps médical est menacé par le fanatisme qui pousse les gens à prendre le risque de mourir et de transmettre le virus mortel plutôt que de... faire plaisir à Macron...
Comme le personnage de Brassens, ces victimes-là :
"refusent l’secours de la thérapeutique
parce que c’est du gars Macron
Oh ! gué ...Oh ! gué...
que viendra la solution
Oh ! gué Oh ! gué...
Le moins qu’on puisse dire, c’est que Macron est bien obligé de faire, finalement, et bien tard, le nécessaire... Mais dans quelle pagaille, et en perdant tout ce qui lui restait de crédibilité...
Mais en Guyane ou en métropole, comment faire confiance à un tel personnage ?... Pendant qu’on assiste au procès Benalla et que se prépare activement la campagne présidentielle, "en même temps" que le gouvernement revient sur sa (...)
En approchant de l’élection présidentielle, n’oublions pas...
qu’on va vouloir nous faire gober n’importe quoi au prétexte de PNB, de dette publique, de concurrence internationale, de "rang" à tenir et autres histoires à dormir debout...
Alors que tsunamis, incendies, tremblements de terre, sécheresses, inondations diverses et pandémies à répétition préparent au genre humain et animal la plus fantastique volée qu’on puisse imaginer... qu’on n’imagine pas ...
Et que le problème n’est pas de remplacer le pétrole par un autre miroir aux alouettes qui permettrait de continuer à se gaver et à épuiser la terre...
Le problème n’est pas non plus de renoncer au confort (alors que la faim redouble dans l’hémisphère sud et frappe aussi le nord ), le problème est de CHOISIR la sobriété plutôt que la cupidité. (...)
quel que soit l’échelon auquel on y entre. On a la vie des souffrants entre ses mains. Faut pas y entrer par hasard, c’est comme faire des enfants, il faut choisir, de préférence avec passion... Et là ça marche ! Si ! Si !
Et pour tout le monde, être ou ne pas être vecteur de virus mortel, ça ne doit pas être une question d’opposition politique. Pour le SIDA, tout le monde a compris très vite, et tous les gens responsables "sortent couverts" maintenant sans problème. La Covid, ça peut être moins grave, ou tout autant, ça dépend de notre état de santé et /ou de notre âge...Le gros problème étant que ça s’attrape beaucoup plus facilement...Alors... A nos masques, prêts ! vaccinons nous !
Emission revue et enrichie de la si belle chanson de Croisille...
Retrouvons Cavanna et ses recettes féroces à pleurer de rire...Cramponnez-vous, ça déménage....
J’aurais voulu être un artiste
François Cavanna/le con se surpasse (2021)
(extrait à 98 % de "L’aurore de l’Humanité" - ou "Le con se surpasse"- Editions Belfond et Livre de Poche. A consommer avec les autres Cavanna sans modération !
La sagesse des chats est proverbiale, et pour en bien parler, il faut les aimer...
Le toulousain Bernard Werber semble leur vouer une belle passion, qu’il enrichit pour nous d’Histoire, de philosophie, et de cette poésie dont il tisse ce dialogue très pédagogique...
Vous connaissez sans aucun doute cette histoire, mais les mots qu’il met dans le petit museau de Bastet et de son mentor sont un remède à l’angoisse de ce temps, et un paquet de réponses à des questions éternelles...
Merci Monsieur Werber !
Histoire, politique et entre-chats
Bernard Werber/demain les chats (2021)
Et si vous voulez savoir ce qui nous attend au cas où la dernière question du dialogue se concrétiserait, plongez-vous sans retard dans "Demain (...)
Descriptif
Depuis 13 ans Contre-Histoire se fait un malin plaisir (ou un secret chagrin) à compléter à sa façon les livres d’Histoire des établissements scolaires de la République, avec des informations soigneusement vérifiées et référencées.