Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
« La langue est une raison humaine qui a ses raisons et que l’homme ne connaît pas. » Claude Levi Strauss
À Toulouse, il y avait un parcours d’art contemporain, un truc institutionnel qui fait très Cartier, pas le genre quartier barrio, mais plutôt cartier diamant. Mais peu importe, ça n’empêche pas de goûter au plaisir de voir des choses fortes.
Une installation tournait autour de Susan Hiller une artiste américaine qui réalise depuis des décennies des installations. Ici, c’est le film the last silent movieet ce que ça a déclenché de voir un tel film.
Un écran noir où n’apparaissent que des sous-titres traduisant le son des langues inconnues, en voie de disparition ou disparues.
Dans le coin gauche (...)
Comme tout le monde, je suis couché en travers de la vie et la vieme traverse.
Comme tout le monde, demain cet anorak ira rejoindre ses semblables à atacama
Comme tout le monde, Attal est ma personnalité préférée (pas tout à fait , rassuré ?)
Comme tout le monde, juché sur un tabouret j’essaie de ne pas désespérer le monde Comme tout le monde, j’aimerais que les choses soient autres
Comme tout le monde, je pense que comme tout le monde c’est comme moi. Comme tout le monde, je suis unique.
Comme tout le monde et Xu Xiucha, j’élève des lapins blancs et je récite : « J’ai saisi la chance de vivre une fois Et cette chance unique, Je la chante, je la danse », et je la hais aussi parfois et je l’aime parfois…
Comme tout me monde, je sais que les poules n’auront jamais de dents.
Comme tout le monde, on peut s’en foutre puisque ce n’est pas l’an quarante..
Comme tout le monde, une fois encore, je vous souhaite une bonne année…
Et pourtant, comme tout le monde, je sais qu’elle ne peut être bonne.
Ou grave, grave pour être dans l’air du temps.
Sur le site, vous avez l’entretien de BF dans la partie expo, seul face à un ordinateur avec quelques questions.
C’est confus et un tantinet ennuyeux
Sur le site, vous avez l’entretien de BF dans la partie expo, seul face à un ordinateur avec quelques questions.
C’est confus et un tantinet ennuyeux. Dans cette émission, il y a sans trop se prendre au sérieux, le là, le là d’où je parle.
Donc, ça illustrera les propos d’à côté et même ça les rend dérisoires.
Certaines références sont les mêmes qu’il y a bien longtemps.
On ne se change pas contrairement à ceux qui voudraient nous faire croire que la vieillesse serait un naufrage total.
Pour le corps, je suis d’accord, pour la vitesse d’exécution, peut-être aussi, mais pour les idées, pas question.
Je vais crever avec, ce devrait être comme ça la vie.