Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
Eh bien, là c’’est les conséquences d’un confinement qui pousse à la remettre dans ke juke box. . Est ce toujours d’actualité ?
Quelques éléments sans doute.
Les conséquences d’un rangement...
Try a little tenderness ta ta ta ta tata ta tat ta ta ta ta ta tenderness, tenderness
Presque rien, dans cette référence à Luc Ferrari que nous n ‘écouterons peut-être pas ce soir, il ne faut garder que l’idée du presque rien, non pas comme un épiphénomène qui n’aurait aucune influence sur l’histoire du monde mais comme toutes ces anecdotes qui font que le monde va, même si c’est quelques secondes par jour.
Donc dans cette phrase un peu tordue, je dis que nous n’écouterons peut-être pas Luc ferrari parce qu’en fait je n’en sais rien. C’est une improvisation radiophonique ; bien sûr contrainte par les supports que je peux amener et par , là je ne peux pas faire autrement , les associations d’idée qui ne peuvent qu’être miennes. Je vous engage si l’aventure vous tente, à soit venir avec moi vous coltiner la suite, soit me faire parvenir vos montages procédant suivant le même principe, soit ne me faire parvenir que ce que vous auriez envie de faire écouter dans l’ordre de vos associations ou pas…
J’ai fait il (...)
"Les victimes de la violence n’ont pas d’adjectifs, elles ne sont que des victimes"
Autour du texte la correspondance des autres
D’Alberto Barrera Tyszka
traduction Nicole Rochaix éditions zinnia
Du bruit et de la fureur et quelques sons plus harmonieux.
Suite des épisodes précédents, non certainement pas . Les déconvenues politiques sont légion, déconvenues est un bien grand mot puisque ça ne me concerne que très peu. Je suis en sécession ou je fais sécession .
Donc, ce soir fi de politique, enfin de celle-là que l’on rencontre dans les médias parce que la politique ou plutôt le politique est partout comme sans doute on peut le dire de la poétique.
« Tout n’est pas politique, mais la politique s’intéresse à tout. » Nicolas Machiavel
Bon trêve de plaisanterie, revenons à notre mouton, la littérature.
Et ce soir , une émission autour d’un texte, La correspondance des autres un texte court (...)
Il attendit en effet la fin des années quatre-vingt pour abandonner son statut d’apatride, obligé qu’il était de régulariser ses papiers d’identité. Son suicide, le 9 février 1994 dans la Seine, est venu comme rappeler non seulement qu’il se considérait comme définitivement « hors la loi », mais aussi qu’il avait toujours dansé sur la corde.
Nous ne voyons personne
Nous voyons parfois quelqu’un
Sinon comme quelqu’un qu’on voit
Du moins comme quelqu’un
Qu’on voit parfois
Parfois nous voyons quelqu’un
Mais en général
Nous somme uniques mais épidémiques
Nous ne voyons personne
Quand nous voyons quelqu’un
Nous ne voyons personne
Mais personne ne voit
Qu’en ne voyant personne
On voit toujours quelqu’un…
Je rappelle que cette émission est une émission ouverte, vous pouvez y dédicacer ce que vous voulez pour qui voulez vous y compris. Plus tard, c’est à dire l’année prochaine, elle sera plus tardive pour inciter les confidences , orises de pari=oen, expérimentation et tout ce qui vous plaira d’y amener.
Pour ce (...)
Spécial dédicace à tous ceux qui luttent, s’indignent, aiment et dénoncent l’absurdité des vies qui nous sont promises.
Play Misty for me
C’est le titre anglais d’un film de Clint eastwood qui est traduit en français par un frisson dans la nuit et que je pourrait écrire dans un chiac décomplexé, un free (FREE) son dans la Nuit.
Je sais, prendre comme titre d’émission, un titre de film de Clint eastwood , trumpiste convaincu n’est pas très cohérent,Clint Eastwood qui illustre si justement le petite vers d’une chanson de Brel, plus il devient vieux plus il devient con, et tiens en parlant de con, Cohn bendit, lui aussi colle bien à ce vers de Brel, et quelques autres (...)
Autour du double cd proposé par Morgan fisher.
Une contrainte que les productions musicales ou autres n’excèdent pas une minute.
plus une macronade et une brève de comptoir
Et puis, alors ,que j’avais prévu d e faire la semaine prochaine une émission sur le concert du tentet de joelle léandre pensant que c’était dimanche en 15. Et puis, voilà, patatras, le concert, c’est dimanche 14 à 18h, aux abattoirs.
Joëlle Léandre can you hear me