Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
Rien à voir à ce qui occupe aujourd’hui.
Un vieux texte de Tanguy Viel sur la mélancolie et toute cette sorte de choses.
De saison, avec cet été qui ne veut pas finir ;
Et maintenant je ne possède plus rien. Quelques livres, oui parce qu’il faut. Quelques médicaments parce qu’il faut et un fusil pour le cas où. Une grande réserve de fléchettes, des murs blancs et une carte de France. Pas d’ordinateur, pas de téléphone, pas de montre. Plus de miroir, j’insiste. Une nouvelle vie s’annonce.
Les déconfinement m’a bouffé l’horloge interne et une émission non pas sur les policiers et leur pratique discriminatoire mais sur la France et ses pratiques discriminatoires.
La police ne m’intéresse pas puisque pour moi elle ne devrait pas exister mais la police n’est pas porteuse de tous les maux , elle n’en est que le symptôme.
Donc un lien vers une ancienne émission sur le racisme et la police pas obligatoirement française à partir d’un article de libération, je crois.
La meilleure preuve qu’il existe une intelligence extraterrestre, c’est que personne n’a essayé de nous contacter.”Bill Watyerson.
Un texte de Thomas clerc Aux balcons
et autres commentaires sur la mort en ce monde et la mort du monde
Émission à venir sur worldometers.info
Patientons, il ne reste plus que 43 ans de réserve de pétrole.
Je dors, je me lève, je me lave, je m’habille, je lis , je pense à ce que je vais manger, je mange, le dors, je range, je lis et ainsi de suite.
Les informations ne déclinent que des compteurs, compteurs des contaminés, compteur des morts, compteur des morts du jour , on essaie de penser aux morts du lendemain, les informations ne déclinent pas que des compteurs, ils laissent aussi passer des quotidiens triviaux, dérisoires, inutiles ( je n’arrive pas à vendre mon appartement, les enfants font du bruit mais ça va , on tient, nous sommes coincés en Polynésie, mon mari descend souvent à la cave, est ce qu’il ya du chlore dans l chloroquine...). Cet amoncellement de banalités rend notre confinement remarquable et apaisé. Et comme , on ne retient rien de ce qui se dit , apparaissent les : "il parait",le catalyseur de la fake news mais qui n’en n’ai pas une. Juste quelque chose lancée comme par inadvertance, laissant planée le doute,
une façon de distancier la subjectivité, et de relativiser l’objectivité de l’info.
A près tout un "il parait " se doit d’être vérifié.
Eh bien, là c’’est les conséquences d’un confinement qui pousse à la remettre dans ke juke box. . Est ce toujours d’actualité ?
Quelques éléments sans doute.
Les conséquences d’un rangement...
Try a little tenderness ta ta ta ta tata ta tat ta ta ta ta ta tenderness, tenderness
Presque rien, dans cette référence à Luc Ferrari que nous n ‘écouterons peut-être pas ce soir, il ne faut garder que l’idée du presque rien, non pas comme un épiphénomène qui n’aurait aucune influence sur l’histoire du monde mais comme toutes ces anecdotes qui font que le monde va, même si c’est quelques secondes par jour.
Donc dans cette phrase un peu tordue, je dis que nous n’écouterons peut-être pas Luc ferrari parce qu’en fait je n’en sais rien. C’est une improvisation radiophonique ; bien sûr contrainte par les supports que je peux amener et par , là je ne peux pas faire autrement , les associations d’idée qui ne peuvent qu’être miennes. Je vous engage si l’aventure vous tente, à soit venir avec moi vous coltiner la suite, soit me faire parvenir vos montages procédant suivant le même principe, soit ne me faire parvenir que ce que vous auriez envie de faire écouter dans l’ordre de vos associations ou pas…
J’ai fait il (...)
"Les victimes de la violence n’ont pas d’adjectifs, elles ne sont que des victimes"
Autour du texte la correspondance des autres
D’Alberto Barrera Tyszka
traduction Nicole Rochaix éditions zinnia
Du bruit et de la fureur et quelques sons plus harmonieux.
Suite des épisodes précédents, non certainement pas . Les déconvenues politiques sont légion, déconvenues est un bien grand mot puisque ça ne me concerne que très peu. Je suis en sécession ou je fais sécession .
Donc, ce soir fi de politique, enfin de celle-là que l’on rencontre dans les médias parce que la politique ou plutôt le politique est partout comme sans doute on peut le dire de la poétique.
« Tout n’est pas politique, mais la politique s’intéresse à tout. » Nicolas Machiavel
Bon trêve de plaisanterie, revenons à notre mouton, la littérature.
Et ce soir , une émission autour d’un texte, La correspondance des autres un texte court (...)