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A propos d’Elles
publié le 6 décembre 2024 par Germain
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Le cratère propose la 28em édition du festival "A propos d’Elles".
Le cratère travaille notamment en partenariat avec l’ENSAV.
Quatre étudiantes en Master ont choisi trois films.
Nous remercions Marilina, Lou, Oriane et Tatiana. -
Accompagner des enfants endeuillés
publié le 26 novembre 2024 par Céline
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Histoire d’en parler est un dispositif destiné aux enfants en deuil. Il mêle des ateliers d’expression artistique et des temps de parole en groupe. Agnès Suc, pédiatre responsable de l’équipe ressource douleur soins palliatifs
pédiatriques à l’hôpital des enfants au CHU de Toulouse et François Estival, bénévole de l’association Etre-là, accompagner en soins palliatifs sont venus parler de ce dispositif, de ses enjeux et de sa nécessité au micro du Magazine.L’équipe Deuil de Etre-là Toulouse collabore avec le dispositif « Histoire d’en Parler ». Deux thérapeutes animent ces ateliers médiatisés pour favoriser l’expression des sentiments et des émotions liés à la perte. Deux bénévoles de l’équipe Deuil sont présents au moment des ateliers pour animer un groupe de parole pour les parents qui le souhaitent.
Pour prendre rendez-vous ou obtenir des explications supplémentaires : tél. 05 61 77 60 74 /
email : abasolo.p@chu-toulouse.fr et sur le site internet à cette adresse : https://www.chu-toulouse.fr/-histoire-d-en-parlerL’impact du deuil dans la société est occulté alors que des risques existent concernant la santé, l’emploi, la scolarité pour les enfants ou les adolescents… Parler du deuil suite à un décès est une question de santé publique. Il n’existe pas un deuil mais des deuils, tous singuliers., peut-on lire dans l’introduction de la brochure Le deuil, une histoire de vie. Pilotée par Empreintes, elle a été conçue avec un collectif d’associations et de structures d’accompagnement de deuil et de soins palliatifs. Elle présente des repères essentiels pour comprendre le deuil, percevoir ses spécificités selon le lien au défunt mais aussi selon les circonstances du décès, trouver des ressources pour surmonter un deuil.
Le deuil est devenu un « mot valise ». Son usage masque une (...) -
In Goth we trust
publié le 15 novembre 2024 par Céline
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Musique, concerts, soirées mix, expo, cinéma : dédiée au mouvement gothique, la troisième édition de la Setmana Santa s’annonce riche d’événements. Elle a lieu du 2 au 8 décembre à Toulouse. DJ Konstroy, fer de lance de ce festival lancé en septembre avec trois soirées de chauffe est venu en détailler la programmation. Et revenir aussi sur un changement de lieu imposé par le service culturel de la ville, les organisateurs se voyant chassés de l’église du Gésu, "à la suite de pressions exercées par une minorité religieuse mal renseignée taxant les organisateurs du festival de satanistes".
Du 2 au 8 décembre 2024, la ville rose se drape de mauve, de pourpre et de noir : Toulouse accueille dans des lieux choisis et durant une semaine entière la troisième édition de la série d’évènementiels consacrée aux cultures dark, La Setmana Santa.
Elle est précédée de pas moins de trois soirées de chauffe (les fameux « warm-up shows », des 23 septembre, 15 et 30 novembre) au moins aussi variées et qualitatives dans leurs programmations respectives que l’affiche principale. Retrouvez toute la programmation et la billetterie ici mêmeCommuniqué de l’équipe organisatrice :
"Le service culturel de la mairie de Toulouse a refusé jeudi 10 octobre de réitérer son accord de mise à disposition de l’espace culturel local et ancien lieu de culte désormais désacralisé, l’église du (...)
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Laisse béton Salvaza
publié le 30 octobre 2024 par Céline
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Moins de bitume, plus de légumes ! C’est la devise du collectif Laisse Béton Salvaza, fondé en 2023 à Carcassonne contre un projet immobilier d’une plateforme logistique porté par le groupe Axtom, un projet hénaurme comme dirait le père Ubu : la construction de deux hangars sur une superficie de 18 ha aussi grande que la fameuse Cité de Carcassonne et ce sur des terres agricoles cultivées en bio.
Porte-parole de la Confédération paysanne de l’Aude, l’une des organisations du collectif, Yann Vétois explique que ces terres agricoles ont été déclassées, passant dans la sphère des terres à urbaniser dans le plan local d’urbanisme de la ville de Carcassonne. Ce n’est pas une première : entre 2009 et 2021, 140 hectares de terres agricoles ont été englouties sur la commune.
La ville vient de retoquer la demande de permis de construire du groupe Axtom au motif d’un trop grand flou quant aux destinataires et futurs locataires de ces immenses bâtiments. Ce refus est une victoire pour le collectif, mais une demi victoire : la dernière révision du PLU prévoit encore 12 zones d’aménagement qui mangeront 293 hectares de plus…Lors de l’action Le banquet des spéculateurs menée le 12 octobre 2024 Le collectif Laisse Béton Salvaza a déclaré : "On attend bien plus de nos élus : notre objectif, c’est de sauver les terres agricoles, et que cette terres redeviennent des terres agricoles, une zone A dans le PLU. Ce qui fait notre unité de lutte, c’est le refus de ce modèle de développement qui met en concurrence emplois paysans et emplois industriels, sans jamais poser la question de leur utilité sociale ni de leurs conditions de travail. Et c’est pour cela que notre collectif rassemble des syndicats de salariés et de paysans, avec des militants et des militantes écologistes. On se bat ensemble contre un modèle capitaliste qui met tout en œuvre (...)
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Marionnette et effluves
publié le 18 octobre 2024 par Céline
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Deux passions animent Clémence Millet : l’art de la marionnette et la magie de l’univers olfactif. Elle combine les deux afin de créer ses spectacles. Le prochain "Narinelli" est joué au théâtre du Fil à Plomb les 29, 30 et 31 octobre, les 1er et 2 novembre à 15h30 ; une séance supplémentaire est programmée le 30octobre à 10h30. C’est une création de la Cie Miss Bouillon.
Clémence Millet alias Miss Bouillon a deux passions : la marionnette et le parfum
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La Martinique contre la vie chère
publié le 18 octobre 2024 par Céline
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Depuis juillet 2024, le Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéennes (RPPRAC) a lancé un mouvement contre la vie chère. Principale revendication du mouvement : que les prix des produits alimentaires en Martinique soient alignés sur ceux de la métropole. En Martinique, les produits alimentaires de base coûtent 40% de plus qu’en métropole. Au micro du magazine, Jacques, président de l’association Tèt ginen et JR, producteur de RKP, l’émission culturelle dédiée à Haïti sur Canal Sud, décryptent et analysent la situation martiniquaise.
Basée à Toulouse, l’association Tèt Ginen a pour objectif de promouvoir la culture africaine, caribéenne, à travers l’organisation d’événements permettant la promotion et la connaissance de ces cultures. Celles-ci s’expriment à travers, l’art, le sport, la musique, le culinaire, voyage loisir, etc.
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Jacques en est le président. Martiniquais, il fait des allers-retours entre l’île et la métropole ; il connaît bien les prix qui ne cessent de flamber et la pauvreté de gangrener l’île. Pour lui, la grande distribution tenue par les békés, des blancs créoles descendant des premiers colons esclavagistes, fait perdurer un système profondément inégalitaire.