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Le Cirque pardi s’invite à la Grainerie
publié le 17 mars 2017 par Germain
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Cirque pardi ! est un collectif toulousain d’artistes, de constructeurs, de chauffeurs, de logisticiens , d’administrateurs.... réunis autour d’un projet de cirque moderne itinérant. Le cœur du cirque, c’est une ligne artistique sincère et expérimentale faite de recherches qui prennent de la hauteur ont le gout du risque. le centre du cœur c’est Borderland. il s’agit d’un spectacle imprévisible et humoristique à la rencontre de 9 performeurs. Ils ont planté le chapiteau à la Grainerie ce soir vendredi 17 mars à 20h30 demain soir à 20h30 également et dimanche à 16h.
Nous recevons Maël pour nous parlez de la genèse du projet, du spectacle, des futures créations et de l’esprit de ce cirque itinérant. -
Marie madeleine et ses invités : Jardin d’incendie
publié le 17 mars 2017 par Germain
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Avec Jardin d’incendie, Sébastien Bournac met en scène une performance poétique qui mêle trois de ses textes : Salsugem, Trois Lettres de la Mémoire des Indes et Jardin d’Incendie. Accompagné par Tom A. Reboul, créateur d’univers sonores, le comédien Régis Goudot livre cette fièvre poétique qui transcrit les incendies de l’être.
Al Berto est un grand nom de la poésie contemporaine portugaise. Disparu il y a tout juste vingt ans, ce poète, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur, a été influencé par Rimbaud et Genet, mais aussi par les mouvements libertaires et par la génération beatnik américaine.
Dans cette cérémonie intime du DIRE poétique, « jardin d’incendie » fantasmé intensément, scénographié sobrement, carnographié puissamment, ce qui s’entend fiévreusement comme une malédiction, c’est le sentiment de faire partie du monde depuis la nuit des temps et d’être condamné à s’y chercher éternellement. Il est très rarement aisé d’être vivant !
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marie madeleine et ses invités : Post-Scriptum
publié le 17 mars 2017 par Germain
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En nous proposant des lettres d’auteurs célèbres ou anonymes, les deux comédiennes tissent sous nos yeux la toile pêle-mêle de ce qu’ont toujours été les relations humaines.
Enserrées dans une toile de laine, les comédiennes déroulent le fil de lettres d’amour ou de rage, dévident les émotions intimes de personnages célèbres ou anonymes et vous livrent une trame originale d’échanges épistolaires. Sont ainsi convoqués Camille Claudel, George Sand, Victor Hugo mais aussi le père Noël, Gainsbourg, les courriers du cœur…
Auteurs et Interprètes : Anne Bourgès et Delphine Alvado
Metteur en scène : Kantuta Vartet
Compagnie Une petite lueur
facebook : compagnieunepetitelueur
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Les extrats
publié le 16 mars 2017 par Germain
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7e édition d’un festival les Extrats jeune public à Ramonville Saint Agne les 18 et 19 mars prochain. La programmation qui vous est proposée cette année questionne l’identité. Elle vise à amener chacun, petits et grands, à se réapproprier la quête de l’identité personnelle, sociale et imaginaire.
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l’Usinotopie un lieu à sauver
publié le 16 mars 2017 par Germain
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L’UsinoTOPIE est un lieu ouvert de fabrique, de diffusion, d’action culturelle dédié aux arts de la marionnette.
Pierre Gosselin nous parle des problèmes que rencontre ce lieu.Il y a quelques mois, nous avions annoncé la tourmente dans laquelle nous nous trouvions. Il vous manquait sans doute quelques détails pour comprendre. Malheureusement ces précisions ne sont jamais arrivé jusqu’à vous et aujourd’hui, vous apprenez ici ou là que le signal d’alarme est lancé. Et qu’il sonne comme le glas en UsinoTOPIE. Il y a urgence - vous dit-on ! - urgence à trouver des solutions pour maintenir les activités de la structure. Alors vous tombez des nues ou peut-être pas ?...
Vous savez que la période est sombre, que ça va mal. Vous savez aussi que, quand ça va mal, ce sont les financements de la (...)
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In extremis
publié le 16 mars 2017 par Germain
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Pour les artistes comme pour les spectateurs, une fenêtre ouverte sur des formes inattendues, des aventures artistiques inclassables, des projets en cours d’élaboration...
Ils viennent de Melbourne, Anvers, Belgrade, Béziers. Ils sont acteurs, danseurs, musiciens, marionnettistes.
Tous mixent des formes hybrides, dynamitent les normes, se jouent des genres, avec presque rien. Tous, s’abandonnant sans retenue au risque de la rencontre avec le public et son imaginaire.
Bénédicte Namont vient nous présenter le programme d’In Extremis.