Le Magazine

"Acteur au présent" propose depuis plusieurs années une formation pluridisciplinaire à l’attention des jeunes qui souhaitent devenir comédiennes, comédiens.
Katharina Seyferth, Caroline Engremy, Jean-Marc Richon, Michel Mathieu, Marie-Angèle Vaurs, Dominique Collignon, Denes Debrei, Jean-Marc Matos et Severine Astel les accompagnent sur ce chemin avec chacun, chacunes, un travail spécifique...
Cette année la thématique de ce travail s’articulait autour du sujet ô combien d’actualité "Les Migrations".
Camille Baradel et Gabriela Acosta, deux des stagiaires, sont venues aux studios afin de présenter, d’évoquer, avec beaucoup d’enthousiasme et de sensibilité, la création qui clôt leur formation.
De plus Gabriela a lu un texte. Vous pouvez découvrir ce spectacle ce soir et demain soir à 20h30, au théâtre du Ring.

Partageons les jardins ! est une structure citoyenne sensible aux questions écologiques et aux dynamiques collectives dans les jardins locaux. L’objectif de l’association est de mettre en réseau les différents acteurs autour du jardin et les faire connaitre. L’association met en place des outils afin de développer le jardinage dans la région toulousaine (carte des jardins, centre de documentation, diffusion d’infos, visites…). Clara était avec nous pour nous présenter l’association.

Le collectif Partageons les Jardins ! est né en novembre 2009 de rencontres entre jardiniers et amateurs de nature en ville dans l’agglomération toulousaine. Ces rencontres consistaient à échanger sur nos expériences, partager nos savoir-faire, et à parler des projets de jardins partagés qui étaient en train d’éclore dans les quartiers toulousains, mêlant écologie, auto-production, plaisir de faire ensemble, art urbain, respect des différences. D’autres projets existent, la Ville de Toulouse les encouragent (cf charte des jardins partages toulousains). Ce collectif a soutenu la création du jardin partagé du Verrier.

Orcival, alias Julien Bouttard, vous l’avez surement déjà vu. Membre fondateur de Enterré sous X, fondateur et compositeur de Bazaar Boutik, il laisse son esprit vagabonder en liberté ce qui, de nos jours, est chose rare. Armé de ses guitares, il oscille entre blues et musique du monde, entre chants et morceaux instrumentaux. Les instruments en bois, l’inspiration puisée dans les forêts, les montagnes et les voyages côtoient des rythmiques électroniques venant de la ville et du bitume. Nature et culture urbaine se rejoignent pour former une musique cosmopolite, actuelle et généreuse. Il était dans nos studios pour nous présenter son deuxième album "like the sun" et nous jouer un titre en live.

Orcival est un projet récent. Imaginé, composé et joué par Julien Bouttard, il existe depuis le mois d’août 2015. Après une courte période de création et de composition, il enregistre au mois de juillet 2015 un 1er album « Mountain light » au Studio du Frigo (81).

Il va ensuite dans la rue tester ce nouveau répertoire et rencontre un franc succès. Il est programmé dans différentes salles de la région très rapidement (centre culturel Alban Minville, centre culturel Saint Simon, Café Plum...). Après des dizaines de concerts dans la région ainsi que des émissions en radio et télévision régionale, il enregistre un deuxième album « Like the sun », toujours (...)

Il y a 70 ans éclatait à Madagascar une grande insurrection indépendantiste, insurrection réprimée dans le sang par une République Française renaissante mais toujours soucieuse de préserver à tout prix son empire colonial.
Dans ce Magazine spécial, nous arpentons ces années sombres -1947, 1948...- mais nous évoquons forcément aussi le Madagascar actuel et sa liberté toujours à conquérir.
Pour cela, nous nous appuyons sur la parole de l’écrivain malgache Jean-Luc Raharimanana. Aussi bien à travers ses écrits (nombreux sur le sujet) qu’à travers un entretien réalisé avec lui au début de ce mois d’avril.

Quelques liens...

• Le site web des éditions Vents d’ailleurs, où vous retrouverez les ouvrages de Raharimanana : http://www.ventsdailleurs.fr
• "Passé sous silence", documentaire autour de l’insurrection -sortie prévue d’ici la fin de l’année : http://madagascar1947.wixsite.com/film
• L’émission malgache de Canal sud, tous les dimanche à midi : http://www.gasikarts.com

Coco Moko est une association fondée par Bonnie Belgrade en février 2016.
Ils défendent la musique alternative, underground, indépendante, expérimentale.
Cependant, TOUS les styles les intéressent, du moment que vous ne vous cantonnez pas à quelque chose qui existe déjà, mais que vous essayez d’y apporter une autre dimension.
Bonnie et Léa étaient dans nos studios pour nous présenter cette association et promouvoir la DarK NAtive du jeudi 13/04 au Forbidden Zone !

Le but de cette association est de faciliter l’accès à la scène à de jeunes groupes ou artistes locaux talentueux. Faciliter les rencontres entre organisateurs et artistes.
Nous sommes un moyen. Un raccourci.

Chez Coco Moko, deux choses importent : nos artistes, notre publique.
Nous nous foutons des dogmes et des principes préétablis.
Nous sommes prêt à aller n’importe où pour eux, avec eux.

Soyez ce que vous voulez. Créez, jouez, vivez.

Si le meilleur groupe de musique irlandaise moderne était français, il s’appelerait Doolin’.
Le guitariste du groupe de musique irlandaise Doolin’ ne peut guère mentir sur ses origines. Cet accent qui chante au bout du fil ne vient pas de Cork ou de Dublin, mais bien de… Toulouse. Qui a dit qu’il fallait être né à Lorient pour jouer de la musique celtique ? « Son caractère convivial et festif se retrouve aussi dans les valeurs du Sud-Ouest », justifie Nicolas Besse. Lui et son frère Wilfried, habitués de la scène pop-rock, aux côtés de Jean-Pierre Mader ou de Lio, ont fait équipe en 2005 avec le bassiste Sébastien Saunié, le violoniste Guilhem Cavaillé et les frangins Fournel, Josselin, vice-champion d’Irlande de bodhran (tambour), et Jacob, virtuose du tin wistle (petite flûte), qui était avec nous dans les studios pour nous parler de Dollin’.

Toutes ces sensibilités façonnent un son irlandais unique et moderne. Plus fort que les Pogues, le sextette n’hésite pas à rapper ou à ouvrir ses concerts avec Sex Machine, de James Brown. Un mélange qui plaît sur l’île verte, dont les artistes ont parfois du mal à s’écarter de la tradition. « Le métissage fait partie de l’histoire de cette musique, rappelle Nicolas Besse. Avec les migrants, elle a voyagé aux Etats-Unis et s’est mêlée à celle des Indiens et des Noirs pour donner naissance à la musique américaine. »
L’Amérique, justement. Repérés par le label spécialisé Compass Records, à Nashville, les Français sont partis enregistrer leur album dans le (...)