Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
-
un frisson dans la nuit : révolutions (rediff, excuse facile des manifs successives))
publié le 14 avril 2023 par bidonfumant
|
À entendre tous les errements et ressassements de Finkielkraut (ça fait longtemps que je les entends plus).
Je me suis demandé quand fallait-il arrêter la radio, à quel âge... Et surtout quand se faire vacciner contre....la tentation réactionnaire...
Cette réflexion m’a pris du temps ( et de plus en plus) et je propose donc cette semaine une re-diffusion, avec un début un texte d’Hubert Colas sur la nouvelle violence, un milieu avec révolution de Slamovir Mzorék et une fin la varsovienne.
Émission du temps du confinement.
En fait, je me fous de ce que raconte Alain F.
Et d’où vient cette jouissance, après chaque jour de manifestation contre la réforme des retraites, d’exprimer la baisse de la mobilisation pour les journalistes, enfin ceux qu’on entend le plus.
Bref, une rediffusion ordinaireUn temps de réflexion sur ce qui nous arrive.
(...)
Ah oui, la révolution, plus poétique que politique, aujourd’hui, enfin pour moi.
Sinon, une seule solution, vivez à côté. -
un frisson dans la nuit : avec des noms qui ne disent plus rien à personne
publié le 2 avril 2023 par bidonfumant
|
Au départ, un frisson dans la nuit se voulait une émission d’extrême nuit. La référence à un frisson dans la nuit ou play Mitisy for me titre original, le premier film de clint eastwood en tant que réalisateur où il joue un DJ dans une radio californienne.
Plus qu’un intérêt particulier pour Clint Eastwood, soutien vieillissant à Donald trump, c’était à ce type de radio rural ou de plage qui a un dj toute la nuit qui dit l’heure lit quelques poésies, fait quelques dédicaces, parle à des auditeurs insomniaques….
LES GENS QUI DORMENT MAL LA NUIT APPARAISSENT PLUS OU MOINS COUPABLES.
QUE FONT-ILS
ILS RENDENT LA NUIT PRÉSENTE. HENRI MICHAUX
Alors, il y avait cette idée de faire une radio d’insomniaque mais il se trouve que je ne suis pas parti à la campagne et que j’ai un tantinet vieilli et dors moins bien le jour et puis pour qu’il y ait un sens il faudrait tenir toutes les nuits.
Bref, le projet ne s’est pas fait, mais il pourrait en rester de petites choses à jouer…Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi, il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures, de propositions musicales.
À vous de voir et de dire, mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne (...) -
un frisson dans la nuit : les bruissonnantes 2023
publié le 17 mars 2023 par bidonfumant
|
Des écritures contemporaines
Mises en voix,
en espace,
en mouvement
par les auteursThéâtre du Hangar (rue des cheminots qui existe encore)
0561483829La programmation du festival illustrée qui pose le caractère unique, indispensable et nécessaire de celui-ci.
Bruisson 23Incontournable
Programmation du festival les bruissonnantes
(...) -
Un frisson dans la nuit : Il est difficile d’obliger la vie à avoir un sens William Tapply
publié le 10 mars 2023 par bidonfumant
|
Même dans le Montana, même avec des auteurs de Montana qui s’occupent de chasse et de pêche et de provisions de bois pour l’hiver, ils arrivent à faire des romans qu’on achète aussi bien à Paris qu’à New York. Cela, c’est une chose qui m’échappe. Nous avons des hectares de forêts et de rivières, nous avons un pays qui est deux fois le Montana en matière de pêche et de chasse et nous ne parvenons pas à écrire des romans internationaux.
Du jour où j’ai compris cela, je dois dire, j’ai pris une carte de l’Amérique, je l’ai accrochée sur le mur de mon bureau et je me suis dit que l’histoire entière de mon prochain livre se déroulerait là-bas, aux États-Unis. Tanguy Viel la disparition de Jil sullivanLe sens de la vie -
Un frisson dans la nuit : Mythos...
publié le 27 février 2023 par bidonfumant
|
Dans l’avant-propos de mythologies, Barthes précise son projet :
« Le matériel de cette réflexion a pu être très varié (un article de presse, une photographie d’hebdomadaire, un film, un spectacle, une exposition), et le sujet très arbitraire : il s’agissait évidemment de mon actualité. »Mythos2Nous en avons tous et notamment dans notre observation du monde qui bouge plus qu’il ne change. Le décor change, mais les aliénations restent les mêmes, les inégalités restent les mêmes et ainsi de suite.
De tous ces phénomènes mythologiques, il y a quelque chose d’à la fois politique, sociologique, sémiotique, conséquence du temps qui passe et une trivialité certaine.
L’apparition de tendances consommatoires n’est pas hasardeuse, il y a de ce que l’on appelle tristement et à contre-sens communication.
Nous nous pensons que la communication est un mode de relation entre individus, or pour les professionnels de (...) -
un frisson dans la nuit : l’homme qui penche . Thierry Metz
publié le 13 janvier 2023 par bidonfumant
|
Je suis allé à Empalot, j’ai pris le L9 jusqu’à l’Union et lu l’homme qui penche…
L’homme qui pencheQuand je pointais à l’usine toute symbolique, dans le bus, je lisais de la poésie.
Je travaille bien moins et prend tout aussi moins le bus et la lecture de poésies en pâtit.
Même si j’en lis moins, j’en lis tout de même et même me rappelle de quelques auteurs.
Je me souviens de Thierry Metz et il a une place particulière.
J’ai lu et relu son journal d’un manœuvreJ’en ai tiré une philosophie, le respect du petit du rien, du presque rien, de l’obscur, du sans grade, avant toute chose , comme (...)