Le Magazine

Aïe ! Un poète ! D’après l’œuvre de Jean-Pierre Siméon, est un voyage poétique à travers le temps.

Les 11, 12,13 et 14 Octobre au Grenier Théâtre.
http://www.greniertheatre.org/la-saison-du-grenier-theatre/aie-un-poete-rebeschini-octobre-2017/

Depuis plusieurs semaines (depuis deux mois pour certains) une 50aines de personnes dorment devant le 115 (SAMU Social). Elles sont expulsées systématiquement par la police, parmi ces femmes, hommes et enfants, il y a des personnes sans papiers qui se cachent de peur d’être renvoyés chez eux, les autres avec un groupe de soutient, engagent une occupation devant la cathédrale lundi soir (2 octobre) pour demander des logements.
Pour parler avec nous de cette situation nous avons en ligne Claudia, qui est traductrice en italien et en anglais.

Suite à cette occupation, ils ont eu gain de cause et sont à l’hôtel jusqu’au 10 octobre avant l’obtention présumée de logements sociaux.
Un appel est lancé pour venir les soutenir le plus nombreux possible lors d’une réunion le lundi 9 octobre à 13h devant la préfecture pour évaluer la situation.

C’est le titre d’une conférence sur le lean management, ou la gestion par le dégraissage, organisée par l’hôpital de Toulouse en 2013. A l’été 2016, quatre agents du CHU se suicidaient. Qu’on se rassure, selon Raymond Le Moign, directeur général du CHU de Toulouse, "la capacité à industrialiser des prises en charge est complètement hors de propos".

Ce n’est malheureusement pas ce que nous décrit Jean, infirmier et membre de la CGT du CHU. Entre tarification à l’activité, cadences infernales, pression maximale sur les personnels, patients sur lesquels on cherche à faire des gains de productivité et course permanente à la rentabilité, les méthodes de l’entreprise privée ont envahi le milieu hospitalier. Comme le dit une employée, "on cherche à humaniser les robots et nous on nous robotise".

Si le CHU de Toulouse est classé année après année parmi les trois meilleurs centres hospitaliers de France, ce n’est certainement pas pour la qualité de ses soins. Mais bien pour sa (...)

Kate Papi, comédienne et metteuse en scène britannique a décidé de poser ses valises en France, plus exactement dans le Gers, à Pauihac où elle a co-fondé la Compagnie "Obra", basée au Brana, lieu de recherche et de création.
Elle porte sur scène des textes qui ne sont pas écrits pour le théâtre.
Aujourd’hui, elle évoque la création intitulée : "Fragments", inspirée de l’essai : "Fragments du discours amoureux" de Roland Barthes.
Une comédienne, un comédien, elle parle en français, lui en anglais, jouent avec les mots mais aussi beaucoup avec les corps.

Le pari de Wrong Side est de transmettre la vibration de l’œuvre de Tom Waits. Raconter certaines de ses histoires sans tenter de l’imiter, ni de reprendre ses plus grands succès. C’est un reflet qui met en jeu la parole, le cri et la musique. Sur scène, trois compositeurs-interprètes-improvisateurs, partenaires de longue date. Et dans nos studio deux d’entre eux : Didier Kowarsky, à la voix et aux affabulations, et marc Démereau multiinstrumentiste (saxophone, scie musicale, instruments électroniques et banjo) pour nous présenter ce spectacle qui se joue ce soir et demain soir (29 et 30 septembre) à 20h30 à la Cave Poésie.

La Vélorution est une association d’usagers apportant aide et assistance notamment à la réparation et à l’usage de tous types de véhicules à propulsion humaine.
Elle encourage le partage, la valorisation des savoirs et savoir-faire de chacun/ chacune et pratique le ré-emploi, le recyclage des cadres et des pièces de vélos.
L’association prône la lutte collective non-violente afin de promouvoir ces modes de déplacement non-polluants et à ce titre, elle se propose de participer à toute concertation avec les pouvoirs publics allant dans ce sens, en particulier au sujet des aménagements et de la réglementation.
La Vélorution Toulouse c’est 800 adhérents, une trentaine de bénévoles et une aide apportée auprès de 3000 cyclistes chaque année.
Aujourd’hui l’association est menacée d’expulsion à la date ultimatum du 31 octobre ! La mairie veut récupérer les locaux que l’association occupe depuis 7 ans au 6 rue Bénézet, pour les détruire et y construire un projet immobilier.
Pour nous parler de cette situation alarmante et de ses enjeux, Olivier Theron était avec nous ce jeudi !