Brasero

Depuis que l’on trafique l’atome on produit des déchets atomiques. On a d’abord fait comme d’hab, dans la nature et puis progressivement à force que des gens râlent on est rentré dans la gestion. Aujourd’hui l’enjeu est de faire accepter l’enterrement des déchets. On parle aujourd’hui de stockage pour que ça passe mieux, mais l’idée est bien de mettre ça profond pour qu’on en parle plus. Un entretien avec Julien co-auteur de la brochure "l’enterrement de ceux et celles qui mourront demain". Pour plus d’info sur la lutte contre la poubelle nucléaire voir le site de la maison de la résistance à Bure et un site d’information sur la lutte, bure stop.
Si vous voulez cette partie seulement elle est sur sons en luttes(...)

Et il était, comme plusieurs fois dans ces lieux, une réunion de plusieurs personnes.
Elles avaient en commun d’avoir reçu une invitation pour se retrouver chaque semaine dans la noble intention d’apprendre, de faire, et d’apprendre à faire de la radio.
Dès lors, on put entendre le début des crépitements de // Brasero //, chaque lundi de 19 à 20 heure.

Dès la première des fois qu’elles se sont vues, (des plusieurs fois qui s’en suivront), une pluie de propositions déferla dans le petit studio qui en fût tout émoustillé, lui qui avait pourtant bien l’habitude d’en voir et d’en entendre des propositions.
Une des idées qui tomba toute humide de cette pluie est celle qui nous conduit jusqu’ici : écrire et raconter des contes. Des histoires où se narrait sous (...)

Au menu, ce soir : des bruits de la manifestation du 12 septembre, des témoignages de rentrée, un garagiste quelque peu macroniste, Brigitte Fontaine revue au goût du jour, des bribes d’informations, et, bien sur, le célèbre conte au coin du brasero.

Brabisous et bonne rentrée !

Reçue hier par l’intermédiaire d’ami.e.s en contact direct avec des personnes sur place.

Devant la décision officielle de suspendre la recherche de survivant-es aujourd’hui à 17h et de commencer le protocole de recherche de cadavres (qui revient l’utilisation de bulldozers) dans les zones sinistrées. Topos déclare qu’inutile cette dernière mesure et appelle à continuer la recherche de survivant-es. Il y a besoin d’organisation citadine, résistance civil et d’aide juridique pour demander l’intervention des Droits Humains.
En accord avec l’expérience de camarades qui ont participé aux sauvetages des séismes de 85, on ne peut pas permettre l’entrée de bulldozer alors qu’on continuait à trouver des survivant-es plusieurs jours après (...)

Une émission dans le cadre de "Normes, traçabilité, administration… Si on parlait d’agriculture ?"

Une émission dans le cadre de "Normes, traçabilité, administration… Si on parlait d’agriculture ?"

Ainsi, dans la continuité de ce que nous avions déjà réalisé autours des 15 ans de l’explosions d’AZF,où nous avions parlé d’industrialisation avec Yannik Ogor (éleveur maraîcher et auteur du très récent "Le paysan impossible")

et des conditions du travail paysan avec trois éleveurs,

nous continuons cette réflexion avec quatre émissions [2].

La première (déjà retransmis lundi 4 septembre) évoque le travail de deux paysans dans un coin de la Creuse permettant de penser qu’il est encore possible de faire quelque chose de pleinement satisfaisant. (...)

Il faut rappeler ici que la situation à Toulouse n’est pas une exception, la mort tragique de Denko Sissoko à Chalons en Champagne en janvier dernier devrait servir d’avertissement à l’ensemble des responsables, politiques, administratif et travailleurs sociaux qui participent de cette politique de trie et d’exclusion.
Sur le sujet vous pouvez écouter l’émission Egregore du 26 juin 2017

« L’appel du collectif AutonoMIE

4 JUILLET 2017 : UN AN DE DDAEOMIE, UN AN DE RACISME INSTITUTIONNEL

SAAMENA à Marseille, SAEMIE à Bordeaux et à Pau, MMIE à Rennes, DEMIE à Paris, PEMIE en Seine-Saint-Denis, DDAEOMIE à Toulouse… Les dispositifs (...)

Salut les brasériennes & brasériens
Ça y est, c’est la fin de l’année et on se retrouve une dernière fois ensemble pour parler de vacances. Le brasero de ce soir, il est parti d’une blague et d’un pari un peu pourri qu’on a appelé Brasummer.
Mais enfaite l’été c’est quoi ?
Pour pas mal de gens, c’est la galère des taffs saisonniers pour préparer la rentrée, pour d’autres plages, cocktails et randonnées.
Nous on vous propose d’écouter des jeunes en colo qui parlent de vacances et de non mixité, et un monologue sur les vacances comme invention du capitalisme. Puis, comme on aime se marrer à Brasummer on (...)

Le blog de l’émission frontline.

Une rencontre avec John Gibler, journaliste, auteur de Mourir au Mexique – une enquête sur le narcotrafic et ses conséquences – et de Rendez-les-nous vivants ! – une histoire orale de la disparition des étudiants d’Ayotzinapa.
Cette rencontre réfléchira aux façons de documenter et raconter des crimes qui ne laissent pas de traces en faisant émerger la parole des survivant-e-s.

« Inspiré par l’idée zapatiste de « diriger en obéissant » (mandar obedeciendo) et par des années de reportages sur les luttes sociales et la violence d’État, j’ai commencé à me poser trois questions : Que voudrait dire écrire en écoutant, escribir escuchando ? Quelle forme prendrait un écrit qui écoute ? Que recouvrirait une (...)

Un collage de témoignages à la première personne à l’occasion de la projection d’un film "la tragédie du miel amer" diffusé ce mercredi 31 mai à la Chapelle 34 rue Danielle casanova à 20h30.

Vous entendrait dans cette émission un poème de Brecht "Gîte pour la nuit" , un extrait du texte de Rosa Luxemburg "Dans l’asile de nuit" des extrait de l’enquête du collectif précipité « manuel pour les habitants de villes » où l’on entend des personnes qui en 2003 se débattent dans les plis de la machine à dégommer les vies… Une personne du collectif autonomie ici à Toulouse qui en 2017 se (...)

La lutte à ses définitions, ses sensations, ses émotions à travers des histoires au point de vue individuel et collectif des personnes qui l’a font vivre. Comme beaucoup d’histoires qui commence autour d’une bière et de complices discutant, à Brasero sur le canap de canal sud on s’est demandé c’était quoi être en lutte et puis ça nous a bien tenu 3h ensemble puis encore plus tard avec d’autres. On est parti sur la grève, le monde militant et son langage, ceux et celles qu’on invisibilise ou qu’on discrédite, nos impasses, nos contradictions et nos espoirs...puis dans le studio chacun-e au micro on s’est raconté nos premiers (...)

Hipsters, bobos, yuppies, gentrifieurs… Les termes ne manquent pas pour qualifier les nouvelles populations qui s’approprient les quartiers centraux anciens de certaines métropoles au détriment des habitants populaires. Mais cette profusion empêche de comprendre le phénomène : comment dépasser les oppositions binaires entre gentrifieurs et gentrifiés ? Quels sont les moteurs, les logiques et les enjeux de la gentrification ? Est-elle vraiment inéluctable ?
Ancrée dans des contextes précis, elle s’incarne dans des bâtiments, des commerces, des groupes sociaux, des pratiques et des esthétiques propres aux lieux dans lesquels elle se déroule. Pour cette raison, elle est irréductible à une mécanique simple et identique d’une ville à l’autre, d’un quartier à l’autre. (...)