Germain

Océane Devillers après maintes expériences artistiques propose des ateliers d’art plastique à de jeunes enfants.
N’hésitez pas à la rejoindre dans cette aventure ludique.

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"Années quatre vingt, il se passe quelque chose de phénoménal dans notre petit monde du rock français : le rock alternatif. Une synthèse de beat génération et d’énergie punk. Un appel pour tout ceux qui veulent échapper au système de la corruption de l’âme, à l’esbrouf de la consommation à outrance, et évidemment au star système. La musique devient cri de ralliement pour tout ceux qui sont à l’affut du moindre signe de pureté. J’entend par pureté ce besoin éperdu d’aventure humaine, de rencontre et de partage, quitte à vivre pauvre, quitte à vivre à la rue avec toutes ces dérives et ses dangers.

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"Années quatre vingt, il se passe quelque chose de phénoménal dans notre petit monde du rock français : le rock alternatif. Une synthèse de beat génération et d’énergie punk. Un appel pour tout ceux qui veulent échapper au système de la corruption de l’âme, à l’esbrouf de la consommation à outrance, et évidemment au star système. La musique devient cri de ralliement pour tout ceux qui sont à l’affut du moindre signe de pureté. J’entend par pureté ce besoin éperdu d’aventure humaine, de rencontre et de partage, quitte à vivre pauvre, quitte à vivre à la rue avec toutes ces dérives et ses dangers.

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Mourir, c’est finir. C’est souvent triste, parfois c’est un soulagement. La plupart du temps c’est tragique, mais il arrive que l’on s’en réjouisse, quand ça signifie la fin de l’agonie. Finalement, c’est aussi une question de point de vue. De cultures. De croyances. De tabous.

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Mourir, c’est finir. C’est souvent triste, parfois c’est un soulagement. La plupart du temps c’est tragique, mais il arrive que l’on s’en réjouisse, quand ça signifie la fin de l’agonie. Finalement, c’est aussi une question de point de vue. De cultures. De croyances. De tabous.

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