Brasero

L’Europe se barricade durcissant toujours plus à la fois les frontières et les conditions de l’accueils des personnes qui a force de persévérance ont réussis à passer malgré tout. Sur l’ensemble du territoire français les structures d’accueil des mineurs isolées étranger mènent une politique de trie et d’exclusion qui aboutissent à la mise à la rue et dans une grande précarité des jeunes gens et ce aux mépris des règles de l’Etat lui même. Le 4 juillet le collectif autonomie manifester dans les rues de Toulouse pour dénoncer cette politique raciste dont le « Dispositif départemental de l’accueil, d’évaluation et d’orientation des mineurs isolés étrangers » est le zélé exécutant. À l’issue d’une marche dynamique et joyeuse nous conduisant de l’exécutant DDAOMIE au donneur d’ordre Conseil départemental des mineurs ont pris la parole.

Il faut rappeler ici que la situation à Toulouse n’est pas une exception, la mort tragique de Denko Sissoko à Chalons en Champagne en janvier dernier devrait servir d’avertissement à l’ensemble des responsables, politiques, administratif et travailleurs sociaux qui participent de cette politique de trie et d’exclusion.
Sur le sujet vous pouvez écouter l’émission Egregore du 26 juin 2017

« L’appel du collectif AutonoMIE

4 JUILLET 2017 : UN AN DE DDAEOMIE, UN AN DE RACISME INSTITUTIONNEL

SAAMENA à Marseille, SAEMIE à Bordeaux et à Pau, MMIE à Rennes, DEMIE à Paris, PEMIE en Seine-Saint-Denis, DDAEOMIE à Toulouse… Les dispositifs (...)

En 1793 l’article 35 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen énonce : Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs…
Bon depuis c’est plus vraiment l’ambiance, interdiction de manifester, surarmement policier et judiciaire, la protestation se doit d’être encadrer et de "jouer le jeux". Aussi, on pourrait être un peu septique sur le "droit de manifester"... Aujourd’hui on cette question notamment autours d’une archive sur une manif de décembre 2011 où les flics ont entièrement entouré les manifestant.e.s à Toulouse, une première locale ce que aujourd’hui on appel communément, et banalement, une nasse.

Salut c’est la fin de l’année et on se retrouve ensemble pour faire brassummer... Original, non ? Alors dans les studio non climatisé de canalsud on brode à la main une petite émission de détente à écouter les pieds en éventail.

Salut les brasériennes & brasériens
Ça y est, c’est la fin de l’année et on se retrouve une dernière fois ensemble pour parler de vacances. Le brasero de ce soir, il est parti d’une blague et d’un pari un peu pourri qu’on a appelé Brasummer.
Mais enfaite l’été c’est quoi ?
Pour pas mal de gens, c’est la galère des taffs saisonniers pour préparer la rentrée, pour d’autres plages, cocktails et randonnées.
Nous on vous propose d’écouter des jeunes en colo qui parlent de vacances et de non mixité, et un monologue sur les vacances comme invention du capitalisme. Puis, comme on aime se marrer à Brasummer on (...)

Brasero brassage radio, Aujourd’hui on laisse de la place à Frontline une émission qui passe sur les 106.6 de Fréquence Paris Plurielle et animé par la bande à bboykonsian qui font aussi de la production rap et de l’édition. On va s’écouter l’émission du 28 avril 2017 qui raconte l’histoire de Darcus Howe et du mouvement noir en grande bretagne. C’est Mogniss Abdallah qui est invité pour raconter cette histoire militante…

Le blog de l’émission frontline.

Troisième et dernier volet de l’édition collective de Brasero sur la lutte, sur les luttes. Après deux premières parties introspectives, aujourd’hui, c’est travaux pratiques...

Ça fait deux mois qu’on se voit sur le canap’ de Canal et qu’on cherche, sans forcément trouver, le sens de « c’est quoi lutter ? ». On est allé voir des copains, des copines, des camarades proches ou lointains, et on a ramené des chouettes bouts de récits. De manifs, de grèves, de rêves, tout un tas d’autres questions. On a même raconté la véritable histoire de Blanche-Neige ou comment faire ensemble et lutter c’est compliqué. Et puis on a bien vu, ou plutôt entendu, qu’il manquait quelque chose. Et on avait envie de conjuguer lutter au présent.

Alors, avec notre bramobile, on est allé à la Reynerie rencontrer (...)

Un collage radiophonique pour toucher un peu à la question de la politique... C’est qu’après un grand moment comme on vient de le vivre y’a besoin de parler un peu, comme on peut... De ce petit mot opérateur de rêve et de cauchemars la démocratie et aussi un peu de police mais pas forcément celle qu’on attend... bref... si vous avez le temps vous n’avez qu’à écouter.