Une promenade hallucinée dans la ville confinée.
L’activité s’est retirée, et la ville est sur le flanc comme un bateau sur l’estran.
Le canot cycle dérive dans un espace à la fois tangible et mental, dans les rues dehors mais aussi dans les angoisses, dedans.
La ville n’est pas seulement rendue à la nature et au silence, elle est encore pleine des bruits et des misères qui toujours l’habitent.
La très belle illustration est dessinée par Emilie Route. On la remercie chaleureusement.
Pour télécharger la version en.wav c’est par ici : https://soundcloud.com/lavilleensons/rose-amer-albatros
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