un frisson dans la nuit
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Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
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un frisson dans la nuit : Écrits radiophoniques de Walter Benjamin
publié le 2 avril 2021 par bidonfumant
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Émission librement inspirée des écrits radiophoniques de Walter Benjamin
Édition Alia.
Et quelques infos datées mais, qui étrangement restent d’actualité.
(...)
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Un frisson dans la nuit : Nous qui ne sommes rien nous serons tout….
publié le 19 mars 2021 par bidonfumant
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Le devoir m’appelle mais pas la république.
Et donc, j’utilise une rediffusion.
Je ne sais plus ce qui se raconte ni quels peuvent être mes commentaires ; comment les taire d’ailleurs. Et puis merde, cochon qui s’en dédie.
Donc, une rediffusion, ça devait être au début du mandat d’Hollande et il y a eu l’épisode des bonnets rouges.
Ça ne parle bien sûr pas de ça.
Et plus tard, les gilets jaunes.
Ça ne le prédit pas plus.
Et ça ne parle pas de rond-point.
Le covid me rend bavard, ça reste mieux que de basculer hypocondriaque.
Pour une passoire , avoir des trous n’est pas toujours un défaut . proverbe libanais
Nous qui étions rien , soyons tout
Nous qui ne sommes rien nous serons tout….
Je me retrouve avec un tas de k7 dont je voulais me débarrasser et dont dans une certaine mesure je me débarrasse ce soir ; Une fois posée dans cette émissions, je ne les aurais plus. Je n’ai pas vocation à devenir un centre d’archives surtout et mon rêve de zenitude ne veut plus se satisfaire de désordre, de supports en tout genre occupant des malettes de plus en plus défraîchies.
Il faut admettre un soir que nous ne ferons pas tout (...)
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un frisson dans la nuit : papiripar
publié le 12 mars 2021 par bidonfumant
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Papiripar festival
+ radio
Un résumé d’une heure sur les 100 heures de programme. En réalité, je ne l’ai fait qu’à partir de 10 heures en improvisant et faisant appel au peu de mémoire qu’il me reste.
J’ai en fin de collage, insisté un peu trop (histoire de dosage)sur la ursonate computer de Wladimir Schall, mais c’était une surprise totale que Schwitters soit ainsi revisité, confirmant que rien ne se perd, tout se transforme et au final crée...
(...)
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un frisson dans la nuit : Mai 62 en février 21
publié le 27 février 2021 par bidonfumant
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N’oubliez pas le PAPIRIPAR du 4 au 7 mars à Hambourg, c’est allemand, bien sûr, mais les créations sonores radiophoniques transcendent assez souvent les langues, laissez trainer une oreille sur leur radio .
traduction approximative
Voilà un mauvais pli qui ne se perd pas ou jamais, c’est le temps des vacances. Et me voilà fort dépourvu quand le temps des vacances arriva.Donc, pas de frisson dans la nuit disponible et le niveau d’idée au niveau des paquerettes voire du pissenlit en cette période particulièrement délétère.
C’est vraiment un mot chouette délétère. J’essaie de l’employer le plus possible, il a un sens tellement ouvert et toutes les choses qui me rendent malade sont si nombreuses que ne pas le dire au moins une fois par jour reviendrait à dire que nous ne sommes pas à l’écoute du monde et des gens qui l’habitent. Il y a aussi obsolète dont j’abuse, mais dont l’emploi est plus délicat et que dire (...)
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Un frisson dans la nuit : The last silent movie Susan Hiller
publié le 12 février 2021 par bidonfumant
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« La langue est une raison humaine qui a ses raisons et que l’homme ne connaît pas. » Claude Levi Strauss
À Toulouse, il y avait un parcours d’art contemporain, un truc institutionnel qui fait très Cartier, pas le genre quartier barrio, mais plutôt cartier diamant. Mais peu importe, ça n’empêche pas de goûter au plaisir de voir des choses fortes.
Une installation tournait autour de Susan Hiller une artiste américaine qui réalise depuis des décennies des installations. Ici, c’est le film the last silent movieet ce que ça a déclenché de voir un tel film.
Un écran noir où n’apparaissent que des sous-titres traduisant le son des langues inconnues, en voie de disparition ou disparues.
Dans le coin (...)
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un frisson dans la nuit : 7 janvier 2021 Jeanne dark et moi...
publié le 23 janvier 2021 par bidonfumant
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Vendredi 22, j’ai envoyé par erreur une ébauche du montage de cette émission, la partie censée figurer la ville dans la soirée.
Il manque bien entendu tout le reste.
Je ne suis pas contre l’expérimental et le son débridé mais là ce n’était pas voulu/
J’ai toujours eu du mal à ranger mes affaires et sur une émission qui évoque en partie l’adolescence, c’est plutôt bon signe, à condition de n’avoir rien contre les adolescents.
Interaction avec ce spectacle dans la rue (depuis le festival groland et un concert, je n’ai rien vu durant ces six derniers mois). C’est peut-être ce manque qui m’a dissipé durant ce spectacle et que j’ai sans arrêt dérapé vers mon adolescence qui n’a en soi aucun intérêt.
Par une sorte d’abus comparatif, je dirai que mon adolescence est plus proche de celle de mon grand-père que celle d’un jeune d’aujourd’hui, même catho.
Façon de dire que j’ai trouvé la scénographie de Jeanne Dark, intéressante, la performance de la comédienne éblouissante, quant au texte, mon attention déficiente est certainement responsable de mon intérêt moyen.
Il faut dire qu’il n’y avait même pas le téléphone dans les (...)