Rien à voir à ce qui occupe aujourd’hui.
Un vieux texte de Tanguy Viel sur la mélancolie et toute cette sorte de choses.
De saison, avec cet été qui ne veut pas finir ;
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Et maintenant je ne possède plus rien. Quelques livres, oui parce qu’il faut. Quelques médicaments parce qu’il faut et un fusil pour le cas où. Une grande réserve de fléchettes, des murs blancs et une carte de France. Pas d’ordinateur, pas de téléphone, pas de montre. Plus de miroir, j’insiste. Une nouvelle vie s’annonce.