TOUS LES JOURS, UNE HEURE À UNE HEURE
Et maintenant je ne possède plus rien. Quelques livres, oui parce qu’il faut. Quelques médicaments parce qu’il faut et un fusil pour le cas où. Une grande réserve de fléchettes, des murs blancs et une carte de France. Pas d’ordinateur, pas de téléphone, pas de montre. Plus de miroir, j’insiste. Une nouvelle vie s’annonce. Maladie Tanguy Viel
LUNDI
pizMOJEROME JOY
MARDI
Hungerr Dong (suite)
MERCREDI
Collage Alexandra Baraille
JEUDI
Maladie Tanguy Viel
VENDREDI
Ce que voit l’oeil Lionel Marchetti
SAMEDI
Brise Glace Luc Ferrari David Jisse
Se souvenir des temps et lieux glacés
DIMANCHE
Railnotes un hörspiele ferroviaire d’ Herbet Distell