Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
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Un frisson dans la nuit : ce bruit de verre en elle
publié le 17 mai par bidonfumant
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Il y a toujours dans la nuit un homme qui
ne dort pas qui regarde le ciel ou ne
regarde rien un homme épargné par tout
ce noir qui ronge un homme n’importe
qui un homme qui se sent plus vivant que
le jour et la nuit réunis cet homme est déjà
mort ou n’est pas encore né peu importe
il est assis par terre et ne demande rien. Albane GelleUn hérisson qui partait en voyage
arrêté net
dans un virage
quel dommage. En toutes circonstancesUn bruit de verre en elle. Albane Gelle
Ce bruit de verre en elleTélécharger (mp3 - 82.7 Mio) / Popupet il existe aussi(je viens de la retrouver) la version lue par Albane Gelle au festival panoptic.
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Un frisson dans la nuit : So long Marylin Buck
publié le 12 mai par bidonfumant
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Une rediffusion pour tant de raisons que je n’avancerai que quelques-unes qui ne sont pas plus pertinentes que tant d’autres, qui ne concernent que moi, sans doute, mais je crains que malheureusement ce ne soit pas vrai. La dépression sociale serait-elle contagieuse ?
J’essaie d’expérimenter le slogan post punk : no brain no pain, mais je reste bloqué sur no future.
Dans ces moments où mes années me prennent la tête, où quand je me retourne , je ne vois pas grand monde, je ré-écoute Jefferson airplane, grateful dead, gong, amon düül, et je reste persuadé que c’était pas mieux avant.Directement des années 70, repenser à Marylin Buck.
Marylin Buck sur freedom archives
Télécharger (mp3 - 139.1 Mio) / PopupJe suis maigre. Je me déshabille, cours dans l’eau, plonge nue pour disparaître... Quelques respirations, des cris et des sons du monde.
Je me débarrasse de mes vêtements, des embarras, des soins. La surface se brise lorsque je remonte à la surface pour respirer. Pendant quelques instants, je suis libre, ouverte, au-delà du lieu, au-delà de l’espace.Et puis je suis ici. Je respire profondément, vêtue d’un uniforme règlementaire à l’intérieur des murs qui ne disparaissent que quand mes yeux sont mi-clos, assis pendant un temps officiellement consacré à la méditation bouddhiste.
Mon souffle rejoint ceux (...)
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un frisson dans la nuit : Roadside picnic 01
publié le 3 mai par bidonfumant
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Roadside Picnic une performance, une installation.
Roadside picnic une rencontre avec des artistes de la scène contemporaine des arts.
Parler de leur vie, de leur vie d’artiste, de création contemporaine , du processus créatif.
Parler tout simplement de leur vie de tous les joursUn pique-nique comme une installation, une performanve : un espace, un moment, un déjeuner, eux aussi éléments de cette rencontre.
Roadside picnic une proposition/performance de Ekatarina Bunits
Roadside picnic N°1 Socheata AingRoadside picnic 1Télécharger (mp3 - 84.3 Mio) / Popup -
Un frisson dans la nuit : La grosse caisse
publié le 26 avril par bidonfumant
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Rediffusion
Un conte à régler de Josu Arteaga...
Un conte de Noël, pas vraiment... sauf si vous pensiez offrir une batterie, une batterie rock.La grosse caisse Par Josu Arteaga, l"auteur de l’histoire universelle des hommes chats
La grosse caisseTélécharger (mp3 - 140.9 Mio) / Popup -
un frisson dans la nuit : l’histoire universelle des hommes-chats
publié le 17 avril par bidonfumant
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Tous les vendredis à 20 h et le mardi suivant à 9h
Un village enchâssé dans les brumes des montagnes basques, non loin de la frontière française.
Un village qui se maintient à l’écart d’un monde qu’il méprise et qui l’agresse.
Un village dont plusieurs habitants sont décrits comme correspondants à un félin particulier. D’où leurs surnoms d’hommes-chats.
Un village dont une bonne partie de la population, traditionnellement catholique, a choisi le camp des vainqueurs durant la guerre civile, mais autour duquel des guérilleros anti-franquistes ont longtemps rodé.
Un village qui cache de terribles secrets. Outre les jalousies, rivalités ou haines qui se résolvent de façon tragique ou cocasse, une rumeur persistante fait état de cadavres aux mains coupées, on ne sait par qui ni pourquoi.
Jusqu’à ce que le brouillard se lève sur la scène des crimes.
Le narrateur est lui-même un villageois qui raconte, à chaque chapitre et à différents âges de sa propre vie, un personnage remarquable. Tour à tour spectateur naïf, fin observateur, victime ou complice, il utilise le ton redondant des paysans des montagnes sans rechigner à la métaphore poétique.
Son récit constitue la chronique d’un bourg terriblement localisé, mais qui pourrait se trouver dans n’importe quelle région du monde.Homme-chatsTélécharger (mp3 - 137 Mio) / PopupJe suis très peu sensible aux critiques de livres, j’en lis peu et oublie assez vite (même si j’aime beaucoup le matricule des anges), je ne regarde pas ni n’écoute des émissions littéraires.
Je préfère choisir sur les tables des libraires dont je suppose qu’ils ont avec moi quelques connivences politiques.
Et puis il y a quelques fois des amis mal intentionnés qui me passent un livre qu’en général, j’oublie sur une étagère et que je retrouve un soir où il n’y a rien à lire. Enfin, façon de parler, le rien à lire n’existe pas chez moi. Disons que ça pourrait être un soir où je ferais comme tout le monde et (...) -
Un frisson dans la nuit : La bataille du Mirail
publié le 29 mars par bidonfumant
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En allant boire l’apéro au marché (oui, j’y vais assez souvent) ,je suis tombé sur la une du point (il n’y est plus en kiosque, les vilaines choses ont une fin), le journal approximativement de centre droit macroniste voire totalement à droite avec son titre Toulouse ; formidable où je ne sais quel qualificatif avec comme illustration la Moudenq Delga Tower, tour qui me donnera le matin l’heure par son ombre, cadran solaire appelle-t-on ça.Retour ligne automatique
Coûteux le cadran solaire et est-ce vraiment utile cette turgescence municipale ?
Il y a aussi une attaque des urbanistes au Mirail. À suivre.« Cher Syre, permettez que je me retire ; en jurant fidélité au
Roy, j’ai promis soubtenir la royauté. Or Votre Majesté me
commande un acte pernicieux à la royauté... Je refuse ! Je le
répète à mon cher maistre et souverain bien aymé : c’est une
malheureuse idée de bâtir des quartiers à usage exclusif
d’artisans et d’ouvriers. Dans une capitale où trosne le
souverain, il ne faut pas que les petits soient d’un costé et les
gros et dodus de l’autre. C’est beaucoup mieux et sûrement
quand tout est meslangé. Vos quartiers povres deviendroient
des citadelles qui bloqueroient vos quartiers riches. Or, comme
le Louvre est la partie belle, il pourroit se faire que les balles
vinssent ricocher sur votre couronne... Je ne veux, Syre, estre
le complice de ceste mesure. »
(Lettre de démission que François Miron, prévôt des marchands, adressa à Henri IV)LiigogoumTélécharger (mp3 - 136.9 Mio) / PopupPour l’information et le numéro 48 de construire !, c’est ici