un frisson dans la nuit
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Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
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Un frisson dans la nuit : Mythos...
publié le 27 février 2023 par bidonfumant
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Dans l’avant-propos de mythologies, Barthes précise son projet :
« Le matériel de cette réflexion a pu être très varié (un article de presse, une photographie d’hebdomadaire, un film, un spectacle, une exposition), et le sujet très arbitraire : il s’agissait évidemment de mon actualité. »
Nous en avons tous et notamment dans notre observation du monde qui bouge plus qu’il ne change. Le décor change, mais les aliénations restent les mêmes, les inégalités restent les mêmes et ainsi de suite.
De tous ces phénomènes mythologiques, il y a quelque chose d’à la fois politique, sociologique, sémiotique, conséquence du temps qui passe et une trivialité certaine.
L’apparition de tendances consommatoires n’est pas hasardeuse, il y a de ce que l’on appelle tristement et à contre-sens communication.
Nous nous pensons que la communication est un mode de relation entre individus, or pour les professionnels de la communication, ce n’est pas de ça dont il nous parle, disons (...)
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un frisson dans la nuit :Le poète en oiseau immortel
publié le 26 janvier 2023 par bidonfumant
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Que l’émotion reste centrale dans tout discours militant, j’en accuse réception. ET je trouve ça plutôt ordinaire, même si la raison est souvent avance comme gage de sérieux.
Sans être d’une sensiblerie extrême, mais il semblerait que ça s’aggrave pour moi, il m’arrive d’avoir quelques frissons en regardant un film ou en lisant ou écoutant une poésie ou certains textes tendus, et peut-être même les yeux qui piquent et se mouillent.
Sensiblerie, possible.
Mais il y a une chose que je ne supporte plus, c’est quand je ne suis pas d’accord ou méfiant avec quelque chose, c’est ce quelque chose a été mal présenté pédagogiquement.
Je veux bien ne pas tout comprendre mais je ne suis (...)
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un frisson dans la nuit : l’homme qui penche . Thierry Metz
publié le 13 janvier 2023 par bidonfumant
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Je suis allé à Empalot, j’ai pris le L9 jusqu’à l’Union et lu l’homme qui penche…
Quand je pointais à l’usine toute symbolique, dans le bus, je lisais de la poésie.
Je travaille bien moins et prend tout aussi moins le bus et la lecture de poésies en pâtit.
Même si j’en lis moins, j’en lis tout de même et même me rappelle de quelques auteurs.
Je me souviens de Thierry Metz et il a une place particulière.
J’ai lu et relu son journal d’un manœuvre
J’en ai tiré une philosophie, le respect du petit du rien, du presque rien, de l’obscur, du sans grade, avant toute chose , comme préalable à toute réflexion, à toute pensée sur le monde.
Dans le hasardeux de (...)
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un frisson dans la nuit : fables militaires
publié le 6 janvier 2023 par bidonfumant
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Rediffusion de la rentrée septembre 2018 en janvier 2023.
Tout va bien juste une petite fatigue.
Parce que, quoi qu’il arrive, les ministres de l’Éducation et leurs affidés déclarent toujours que la rentrée s’est bien passé.
Et puis surtout, un des plus nuisibles va bientôt quitter ce ministère, peut-être pour prendre l’Intérieur (mais là, pour faire pire, ça va être difficile).
Deux fables aux morales en forme d’auberge espagnole.
Deux fables qui font appel à des militaires , tout simplement parce que j’avais ça en magasin.
Deux fables de rentrée, si j’avais le moindre humour concernant ce gouvernement, je pourrais dédicacer cette rentrée à Blanquer, mais je n’ai pas de second degré concernant cette équipe.
Deux fables qui ont à voir avec l’évaluation, de situations, avec la représentation du monde que ce se font les chefs et les autres (je ne dis pas subordonné, parce que souvent l’autorité du chef ne concerne que lui), la représentation qu’ils ont de ce qu’ils pensent être les dominés et les surprises qui peuvent subvenir. Je ferai quand même une spéciale dédicace à tous les ministres de l’Éducation nationale, c’est bien en cela qu’il existe des rentrées où tout se passe toujours bien et même quelques fois où elle se passe particulièrement bien. Bon, arrêtons-la, avec l’ironie facile.
Bonne année tout de même
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Un frisson dans la nuit : the man I love take 2
publié le 9 décembre 2022 par bidonfumant
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Une suite qui n’a rien à voir avec la précédente émission au titre identique
Il m’arrive souvent d’hésiter entre deux notes avant de me décider. Thelonius Sphere Monk
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Un frisson dans la nuit : the man I love
publié le 2 décembre 2022 par bidonfumant
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Ce dimanche 16h30 au Taquin Freddy Taquine, les somptueux concerts du premier dimanche du mois.
Le programme détaillé et entendre ce qui pourrait vous attendre.
À ne pas manquer 5 €
Voilà un titre d’émission qui n’a rien à voir avec ce que vous pourriez entendre.
Il s’agissait de parler d’un moment du jazz.
Et j’ai fait une liste de tous les incidents ou surprises arrivés lors de concert à Toulouse.
The man I love, ce sera pour la semaine prochaine si tout va bien.
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