De la lutte contre une autoroute au centre-ville à la formation de l’Union des Comités de Quartier, c’est aussi la question du pouvoir urbain qui est traité en toile de fond. Comment agir sur la construction de nos espaces, et ainsi sur nos vies quotidiennes ?
Vivre autrement, ce sont les plus exploités et opprimés – travailleurs, femmes immigrés, jeunes et vieux – transformant radicalement leurs conditions. Alors cette société élaborera une ville autre. Changer la ville, et donc Toulouse, c’est d’abord changer de société. [1]
Dans cette seconde partie, c’est la structuration de la lutte sur l’ensemble de la ville qui est en question. Mais aussi ce qui change sur le plan administratif et légal, et les transformations de la ville, qui vont modifier considérablement les formes de la lutte.
Par ordre d’apparition Christian Béringuier Géographe membre du Comité et du GIAM…, Pierre Cambon (Architecte Urbaniste à la ville de Toulouse), Chantal Effe Membre du Comité des Berges, Jean Jacques Fournier Membre du comité et président de l’Union de Comité de Quartier de 1985 à 2015, Guillaume Drijard président de l’USQ depuis 2015, Bertrand Verdier membre fondateur du Comité de Berge, Martin Hazard historien
Un texte de le Corbusier issue de la charte d’Athènes, des extraits de « la société ingouvernable » de G. Chamayou, la canaille du midi et guest dans une goguette anti gentrification.
Une production du CRU, plus d’information : https://toulouse.espacesensible.net/
[1] Vivre et lutter à Toulouse. Union des Comités de Quartier. journal inconnu aux environs de 1980, trouvé aux archives municipales sous la cote 64Z2