Pendant qu’une crapuleuse réforme des retraites a mis le pays en grève, nos ignobles gouvernants ont passé en douce une autre réforme, celle du chômage, qui a des effets pour le moins drastiques.
Derrière ces "aménagements", comme disent ces faux-culs, (avoir travaillé 6 mois sur les 24 derniers au lieu de 4 sur 28, avoir au moins 910 heures pour des droits rechargeables, salaire journalier prenant en compte les jours non travaillés, ce qui fait une belle baisse aux intérimaires, 30% de dégressivité après 6 mois d’allocations) il est clair qu’il s’agit d’envoyer le travailleur au turbin à n’importe quel prix (pour lui) et condition.
Ce n’est pas encore fait, ce sera pour début avril.
Le chômage ayant été chanté, surtout depuis 1929, Les Vanneaux de Passage du mois de janvier ausculte....
Les Escrocs Assedic
Les Olivensteins Fier de ne rien faire
Mon éléphant Quand j’étais chômeur
Poésie Zéro Chômage
Zufgangenhause Arbeiloser marsch
DDT Monogorod inache
Macka B Unemployment blues
Sexy sushi Je refuse de travailler
Les Colocs Bon yeu
Femi Kuti No work, no job, no money
Richard Desjardin Le chant du Bum
Les chômeurs kabyles Pouvoir assassin
Dupain La complainte du vieux travailleur
Springsteen Ghost of Tom Joad
Maldita Vecindad Gran circo
Didier Super À bas les gens qui bossent
Neurotics Living with unemployment
M. Eddy Il ne rentre pas ce soir