Le mardi de 23h00 à 00h30
"Le monde est tout ce qui arrive".
Glissement sémantique de la dissolution en faits à l’arrivée du tout. Pas sûr que ça s’entende tant que ça. Bidon Fumant
Mais :
Rien n’est vrai, tout est permis.
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La coudée ...
publié le 25 avril 2017 par bidonfumant
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Une nouvelle revue
Un feuilletage partiel de la revue la coudée.
Liste des propositions musicales :
boite n°7 pierre bastien
cinq coudées le thésard
richard léo ferré
tree flip limousine
orly jacque brel
dance 1989 vopli vidopliassova
detonation thurston moore
mambo à la braque javier alvarez
patiences guns n’ roses
chanteurs de rue istambul radio aporee
smoke on water bizikimler
Le réel n’a pas besoin de nous Tristan Garcia
C’est essssstra kazoul
blues de noël John zorn
hifi paranoïa nurse with woundJe traînais dans une librairie, en fait je ne traînais pas, j’attendais patiemment mon tour pour faire une commande d’un livre.
Je traînais dans une librairie , autant dire floury, c’est pas avec cette annonce fortuite qu’ils vont augmenter sensiblement leur chiffre d’affaire. Donc (...) -
Si tous les gars du monde se donnaient la main...
publié le 11 avril 2017 par bidonfumant
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ils pourraient pas voter.
L’histoire démarre en 2012,à l’automne ou l’hiver , avec au printemps la même échéance, je reçois une revue à laquelle je suis abonné avec un drôle de titre :Occupons le vote".
Et en première page de l’article éditorial cette phrase :" :
Nous, Vacarme, déclarons que nos amis qui ne votent pas et s’en justifient, tout comme les défenseurs du vote blanc, sans parler des derniers tenants du « vote révolutionnaire », commencent à nous fatiguer sérieusement .
Je ne sais pas , comme c’est une revue que j’aime beaucoup, j’ai sur-réagi, une poussée hystérique provoquée par la trahison et surtout la non pertinence (et pas impertinence) d’un tel pamphlet.
Moi, en face, je ne prône rien, je m’abstiens tout simplement et donc je leur réponds.
5 ans après , (...) -
Être noir c’est louche.
publié le 8 mars 2017 par bidonfumant
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Au début il y avait ce commentaire qui se voulait une justification, sans doute…Le pendant de l’enculé de l’interpellé. Pas le même niveau, pas les mêmes circonstances atténuantes, pas professionnel.
Effectivement il y a peu de commentaire à faire sur ça, cela confirme quelques extérieures personnelles sur mon faciès, celui de mon fils et aussi avoir vu le mode opératoire d’une descente ordinaire de la bac place Arnaud Bernard, j’y ai cru à une attaque d’un bloc identitaire… Une certaine naïveté qui m’anime encore parfois, mais que quelques habitants du coin ont vite fait de vacciner.Ensuite il y avait encore quelques anecdotes concernant la police municipale (on comprend pas bien dans quel cadre juridique ils agissent, mais pour plus de précision deux articles surIaata :
Police municipale force ou farce et police municipale, milice du capitole), sur leurs nouvelles missions prévention, médiation et répression ; ils semblent qu’ils oublient assez fréquemment les deux premières ; exemple parmi tant d’autres ; dans le métro un étudiant toulousain jeune (- de 20 ans) est interpellé, on vide son sac sur le sol, je précise qu’il est blond et blanc sinon ce serait trop naturel, motif il est supposé sentir l’herbe, je ne vous dis rien du vocabulaire.
Vous rajoutez vos exemples, il y en a d’innombrables notamment sur le soi disant tapage (...) -
Contextes
publié le 21 février 2017 par bidonfumant
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Une rediffusion d’un autre hiver....
Tout est histoire de contexte.
(...)
Peut-être.
Ce que je ne peux pas vous dire , c’est comment l’idée de l’émission s’est posée.
Très souvent, l’envie d’écouter une musique, de faire du bruit, ou de raconter une histoire.
C’est l’histoire d’une petite fille et sa rencontre avec un test et un psychologue.
Et de quelques autres histoires qui finalement peuvent s’écouter hors de tout contexte. C’est peut-être pour ça qu’elle s’appelle contextes.
A l’année prochaine... -
on veut plus
publié le 7 février 2017 par bidonfumant
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Même, pour soi, soi dans la ville, on a appris le poids de cela qui ne dit pas tu ni vous ni je mais on, simplement on. On ne sait plus dire, pour soi-même y compris, autrement que on.
F. Bon – avril 1999.La littérature et la poésie n’utilisent que très peu le on. Il y a rien de péremptoire dans cette phrase, je fais référence à ce que je lis ou ce que j’ai lu et je ne rappelle pas qu’il fut d’un usage commun.
Car le on ne prend sens que dans le contexte, tour à tour, pour soi, pour nous ou pour les autres.
Il est capable de toutes les postures et porte le discours de n’importe qui.
On est aussi l’expert de tout ce qui n‘est pas clair, on l’a dit, l’ami de la fumée, son compagnon de route.
De toute façon, ce n’est pas obligatoirement le sujet de l’émission bien que l’emploi du on surclasse aujourd’hui le je et le nous, parce que notre subjectivité n’est pas assuré et que le collectif est enfoui sous de profondes couches d’insécurité et de manque de confiance au monde.
Le monde s’anonymise dans cette langue néolibérale où il n’y a plus de vrais coupables, où l’on parle de nébuleuses qui n’ont aucun visage et où l’on entend toujours le même refrain : il n’y pas d’alternative.
On est donc devenu un je autre.
Et il faudra faire avec jusqu’à ce que les on se fédèrent et glissent gentiment vers la droite pour terminer le mot révolution.Ce soir autour du texte onhttps://www.editions-donendia.com/ d’Hervé Federspiel, non, le texte d’hervé Federspiel on
Emballage musical ; radio aporee, morton feldman (paterns in a chromatic fields), programme (l’ enfer est tiède, une vie).
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Famille je vous ai...
publié le 17 janvier 2017 par bidonfumant
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Sur la famille, je n’ai pas grand chose à dire, on en a une et on fait avec. Mais ça reste une collection artificielle qui ne tient que par quelques conventions sociales et qui empêchent ou entravent d’autres constructions sociales…
Peut-être que cette hésitation tient dans ce qu’ Hervé Bazin voulait déduire de la transformation de familles je vous hais en famille je vous ai et que je prolongerai par un familles je vous hais, en famille je vous ai.
Et à cela , on n’échappe pas.
De Clarence Darrow
Qui disait : "Notre première moitié de vie est gâchée par nos parents, et la seconde par nos enfants ?"Une occasion de visiter un texte de fabienne Yvert aux éditions harpoPapa part
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Maman ment
Mémé meurt
Chez harpo 2008