La turbine papote du travail à l’hôpital, les dégradations actuelles, les conditions de travail et le sens de ces métiers,
enfilons nos blouses !
L’hôpital est un petit monde et ça le rend bien insaisissable de prime abord.
C’est un puzzle de pôles, de services, de public de privé, de spécialités toujours plus pointues qui viennent nommer les maux du corps et de la tête que produit ce monde de fous.
L’hôpital public, au même titre que la poste dont nous parlions il y a peu subit une série de restructurations libérales.
Ici comme ailleurs, les prolétaires sont précarisés, les places sont chères, la hiérarchie met la pression, la quantité de travail augmente, et les salaires point du tout.
Qu’en est-il pour ceux et celles qui y bossent ?
Quelles conséquences dans le quotidien de chacune et chacun ?
Y a t-il des résistances ?
C’est un peu de tout ça dont la Turbine parle aujourd’hui.
Commentaires
Le 22 mai 2017 à 22h35 par vinel
L’hôpital public continue la dérive vers la privatisation.
Cette démarche pensée hors hôpital est la recherche progressive d’une rentabilité financière.
Ce n’est que lorsque ce point sera sur le point d’être acquis que les pattes et dents de la finance privée se montreront.Du point de vue service public on doit penser que cela est impossible.
La rentabilité d’un service public n’est pas vérifiable avec les dogmes de la finance et du néolibéralisme.
Néanmoins la vigilance doit rester présente.
Toutes les outrances législatives et réglementaires sont possibles quand un tel gateau,l’assistance publique est en ligne de mire !