Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de e prendre ce son et de la passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio.Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission , outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces de lecture de proposition musicale.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
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déconfit
publié le 25 septembre 2020 par bidonfumant
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Les réflexions d’un confiné déconfit ne valent que pour ce qu’elles sont. Un ensemble de conclusions pas plus définitives qu’il n’y parait, tirées d’une philosophie de la vie, de quelques lectures, quelques usages culturels radicaux et une certaine tendresse pour les peuples plus ou moins premiers même si c’est un mode de vie dont je suis incapable.
Autour du texte de Thomas Clerc
Aux balconsTélécharger (mp3 - 87.5 Mo) / PopupEt je vous glisse ce qui reste pour moi le meilleur clip musical. il n’y a qu’un jeu de zoom, très certainement la caméra est à l’intérieur vu que les gens extérieurs regardent. les joueurs de flipper, la femme qui lit son journal, celle qui boit sa bière et fume est dont ne sait pas où elles est le blouson de cuir et bien sûr Richard qui boit son dernier coup du soir. Ça me rappelle tant de choses, la condition humaine sans doute et l’origine de mon empathie pour ces personnes. J’en pleure déjà.
Donc l’additionneur fou balance son chiffre et ma mère avec toutes ses consœurs de l’ EHPAD le reçoit.
Et (...) -
Maladie
publié le 18 septembre 2020 par bidonfumant
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Rien à voir à ce qui occupe aujourd’hui.
Un vieux texte de Tanguy Viel sur la mélancolie et toute cette sorte de choses.
De saison, avec cet été qui ne veut pas finir ;Télécharger (mp3 - 87.5 Mo) / Popup
Et maintenant je ne possède plus rien. Quelques livres, oui parce qu’il faut. Quelques médicaments parce qu’il faut et un fusil pour le cas où. Une grande réserve de fléchettes, des murs blancs et une carte de France. Pas d’ordinateur, pas de téléphone, pas de montre. Plus de miroir, j’insiste. Une nouvelle vie s’annonce. -
être noir c’est louche
publié le 12 juin 2020 par bidonfumant
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Les déconfinement m’a bouffé l’horloge interne et une émission non pas sur les policiers et leur pratique discriminatoire mais sur la France et ses pratiques discriminatoires.
(...)
La police ne m’intéresse pas puisque pour moi elle ne devrait pas exister mais la police n’est pas porteuse de tous les maux , elle n’en est que le symptôme.
Donc un lien vers une ancienne émission sur le racisme et la police pas obligatoirement française à partir d’un article de libération, je crois. -
Noël aux tisons
publié le 5 juin 2020 par bidonfumant
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La meilleure preuve qu’il existe une intelligence extraterrestre, c’est que personne n’a essayé de nous contacter.”Bill Watyerson.
Un texte de Thomas clerc Aux balcons
et autres commentaires sur la mort en ce monde et la mort du monde
Émission à venir sur worldometers.infoPatientons, il ne reste plus que 43 ans de réserve de pétrole.
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Papier machine...
publié le 24 avril 2020 par bidonfumant
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Le facteur rangement a donc provoqué quelques événements dans ma bibliothèque, dont un des premiers est la surprise de ses dominantes.
D’abord et largement en tête, la part consacrée aux sciences humaines. Peut-être faire un florilège de tous ces bouquins.
Ensuite et ce n’est pas la moindre de mes surprises , la part dédiée à la poésie et aux magazines littéraires.
Bien sûr sans doute , la part dédiée aux romans et romans policiers et de SF devraient être la plus grande mais finalement, ceux sont les livres que nous prêtons et qui à force de tourner ne reviennent plus, ce qui est une excellent chose pour gagner de la place.Deuxième les revues littéraires dans un sens large ; à cause du vent, hors bord, r de réel, tigre, , la coudée, ccp, revue 17, revue 19, muscle, la revue ficelles, aha, , petite, décharge, le grand os, luna park, on, du nerf, tarabuste, odradek ,dixit ,multitudes, licences, bottom, chroniques du ça et là, gruppen, lexi/textes, nioques, décapage, multipiste, multitude, du nerf, chaoid, fin et quelques autres égarées dans d’autres rayonnages.
Pour cette émission, la place est faite à une revue littéraire dont la découverte est récente et qui pour cela n’en avait aucune.
La revue est belge et se nomme papier machineTélécharger (mp3 - 55.5 Mo) / PopupLe confinement, à défaut d’autre chose, nous montre à quel point le quotidien pèse dans nos vies.
Tous ces actes qui contraignent nos vies et se répètent ad aeternam, rendent notre animalité encore plus présente.
C’est certainement une bonne chose de savoir notre insignifiance et que nos grands airs dépendent de notre bonne sustentation.
Donc puisque qu’aujourd’hui le je pense, je suis, s’est transformé en je range, je suis et non pas j’essuie. J’essuie aussi, bien sûr, mais avant e ranger. Être dans l’automatisme ne veut pas dire ne pas être rationnel.
D’ailleurs je rationne donc que je raisonne.
ET quand on range, on trouve, le plus souvent ce qu’on ne (...) -
Askiparait
publié le 17 avril 2020 par bidonfumant
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Je dors, je me lève, je me lave, je m’habille, je lis , je pense à ce que je vais manger, je mange, le dors, je range, je lis et ainsi de suite.
Les informations ne déclinent que des compteurs, compteurs des contaminés, compteur des morts, compteur des morts du jour , on essaie de penser aux morts du lendemain, les informations ne déclinent pas que des compteurs, ils laissent aussi passer des quotidiens triviaux, dérisoires, inutiles ( je n’arrive pas à vendre mon appartement, les enfants font du bruit mais ça va , on tient, nous sommes coincés en Polynésie, mon mari descend souvent à la cave, est ce qu’il ya du chlore dans l chloroquine...). Cet amoncellement de banalités rend notre confinement remarquable et apaisé. Et comme , on ne retient rien de ce qui se dit , apparaissent les : "il parait",le catalyseur de la fake news mais qui n’en n’ai pas une. Juste quelque chose lancée comme par inadvertance, laissant planée le doute,
une façon de distancier la subjectivité, et de relativiser l’objectivité de l’info.
A près tout un "il parait " se doit d’être vérifié.Télécharger (mp3 - 83.4 Mo) / Popup