Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de e prendre ce son et de la passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio.Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission , outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces de lecture de proposition musicale.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Je suis maigre. Je me déshabille, cours dans l’eau, plonge nue pour disparaître... Quelques respirations, des cris et des sons du monde.
Je me débarrasse de mes vêtements, des embarras, des soins. La surface se brise lorsque je remonte à la surface pour respirer. Pendant quelques instants, je suis libre, ouverte, au-delà du lieu, au-delà de l’espace.
Et puis je suis ici. Je respire profondément, vêtue d’un uniforme règlementaire à l’intérieur des murs qui ne disparaissent que quand mes yeux sont mi-clos, assis pendant un temps officiellement consacré à la méditation bouddhiste.
Émission de Noël, ce qui veut dire vieille émission recyclée.
Et un prétexte à écouter les Doors, et d’en dire n’importe quoi...
Doors : Ce nom renvoie à un livre d’Aldous Huxley, The Doors of Perception, où l’auteur narre son expérience des drogues, titre lui-même inspiré d’un vers du recueil de poème Le Mariage du Ciel et de l’Enfer, de William Blake : « If the doors of perception were cleansed, every thing would appear to man as it is : infinite » (« si les portes de la perception étaient purifiées, toute chose apparaîtrait à l’homme telle qu’elle est : infinie »).
Il y a le connu , l’inconnu et entre il y a la porte et c’est ça que je veux être , la porte. Moi aussi,sans doute
Une adaptation de "la fin de l’été" de Françoise Longeard par Luis Mendez
Jill et Luce sont femmes ; Jill et Luce sont filles, elles sont sœurs.
En ce 10 septembre, quelques jours à peine après la mort de leur mère, les voilà seules dans la maison familiale.
Pour Jill et Luce, cette « fin de l’été » est, d’abord, la disparition sidérante de l’enfance ; une enfance éclairée par la présence aimante et créative d’un père, assombrie par la froideur d’une mère, hantée par la disparition d’un frère aîné.
Malgré leur histoire commune et leur tendresse partagée, Jill et Luce ont engagé leurs vies sur des voies radicalement différentes.
C’est parce qu’elle croit en « l’humain » que Luce trouve la force de ses combats et de ses révoltes…
Pour Jill, au contraire, seul le monde animal, et particulièrement celui des oiseaux, semble digne (...)
Vous le savez, il m’arrive des accidents radiophoniques. Il faut admettre quand on fait une émission de faire quelques erreurs qui en général partent d’un bon sentiment. Certains penseront que c’est de la trituration de cervelle mais c’est cette trituration de cervelle sur ce qui semble être de petits détails qui fait vraiment avancer les choses.
A force de dire que tout est trivial, de tout relativiser, on laisse un discours de genre s’imposer. Je dis bien de genre au sens grammatical du terme et pas du genre sociologique, indispensable grille de nos analyses d’aujourd’hui, analyses, bien grand mot, juste de notre façon de vivre et de donner un sens à ce que l’on vit.
Ayant dit ce la on ne sait toujours pas où je vais (...)
Les confinements (je commence à en avoir la pratique), provoquent de multiples lecture et la redécouverte de bouquins plus ou moins disparus. C’est le cas d’un polar de Serge Nicolo, les pêcheurs de sable. Même si les héros qui savent tout faire, intelligent et connaissant les armes , ce qui en font toujours des ex militaires en rupture de ban, même si ces héros m’intéressent peu, certainement par jalousie, moi qui suis plutôt dépressif et analytique, les pêcheurs de sable se laisse lire et à la bonne dose d’information, donc et écroulement du sable s’écroulera autour des paragraphes en italique du roman, qui donne l’information sur ce qu’il en est du (...)