Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de e prendre ce son et de la passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio.Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission , outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces de lecture de proposition musicale.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
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Un frisson dans la nuit : Les 1001 façons de tuer Jaurès...
publié le 26 novembre 2021 par bidonfumant
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Novembre 2021
À voir les tendances larges, il semblerait que la gauche en comptant même la plus molle, arriverait avec peine à 25 %.
Alors on peut toujours y aller de la dérive de la presse, des manipulations en tout genre, de la communication où je ne sais quelles autres foutaises pour expliquer le réactionnaire ambiant.
Mais que je sache, tout ce qui se passe est décrit, écrit, analysé, sans même aller chercher des revues dites radicales comme Z, courant alternatif, mais simplement AOC, l’humanité ou le canard enchaîné. Alors pourquoi plutôt croire les forces de la réaction que celles qui développent la liberté (pas celle de se faire vacciner, dérisoire, pas celle de faire ce que l’on veut, mais ma liberté qui ne peut s’exprimer que dans la liberté de l’autre), l’égalité de droit pour tous, et la fraternité (tiens ,ça me rappelle quelque chose ce truc) ?
Simple, je pourrais simplement conclure en disant que les gens sont stupides, ce qu’ils sont bien sûr, mais surtout qu’ils ont peur de perdre leurs places (ou leurs petits avantages). Un grand remplacement global, ou le pauvre pourrait vivre mieux et rendrait caduque la classe moyenne, le riche , on s’en fout, peu nombreux et inatteignables, mais le pauvre est rassurant pour ceux qui ne le sont pas et montre qu’on n’est pas rien. C’est exactement ce que pense un pauvre blanc qui vote Trump qui ne veut pas de sécurité sociale de peur que les basanés puissent y avoir droit.
Pour ceux qui gouvernent, c’est une situation géniale où l’on peut faire tout ce qu’on veut à condition de taper toujours sur les mêmes. Ça s’appelle donc la démocratie.
Jaurès finit par être sympathique et rend risible tous les emprunts qu’ont pu faire de lui les hommes politiques pour l’anniversaire de sa mort.
Une autre façon de l’assassiner 100 ans plus tard.
Triste.Je ne sais si celle-là en est une, mais sur la plage, entourés de belles jeunes filles et beaux jeunes hommes et de beaucoup moins jeunes, mais tout aussi beaux, sur une plage d’une belle ville dont le maire est un imbécile, j’ai lu cet article entre autre chose du monde diplomatique de juillet : L’art de tuer Jaurès de Jérôme Pelissier et Benoir Breville.
Et voilà, ce qui arriva.
Les 1001 façons de tuer Jaurès.« Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots. »
Télécharger (mp3 - 135.3 Mo) / PopupUne chose est sûre cette émission ne sera pas labélisée Jaurès 2014. Je ne suis pas très sûr qu’elle parle précisément de Jaurès, il y a plein de référence bibliographique sur Jaurès et qui vous diront tout ce qu’il faut pour contrer ce que quelques tristes ires essaient de nous faire passer pour du Jaurès.
Je ne connais de Jaurès que l’écume de son histoire, mais comme tous les personnages historiques, il ne peut être tronçonné à l’envi. Il a pu comme tout le monde avoir ses contradictions et ses moments de fatigue, (...) -
Je ne sais pas ce que m’a fait Marguerite duras.
publié le 12 novembre 2021 par bidonfumant
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Une vieille émission de 2014 et une rediffusion en 2021, quelques confinements plus loin.
Il se trouve qu’il n’y a pas longtemps, j’ai entendu un extrait très court de cet entretien décoiffant que Marguerite Duras a, avec quelques enfants. Extrait qui s’est mis à jouer sur mon ordinateur.
Elle pose, à bout d’inspiration enfantine, une question dont Jacques Chancel a la paternité, sans aucun doute : qu’est-ce que c’est la mort ?
Et le petit gamin ne se démonte pas, répond et conclue : "on peut pas s’empêcher de mourir, c’est ça la vie." (fin de la première partie)Que le monde aille à sa perte ! Ne croyez pas que je savais que 2014 était une date anniversaire pour Marguerite Duras. J’ai du mal à me rappeler la date de mon anniversaire pour ne pas être obnubilé, par celui des autres et surtout s’ils sont morts.
Non , un concours de circonstance a provoqué cette émission et à une semaine près je loupe le centenaire. Quel dommage.
Bref une improvisation radiophonique autour de Duras avec des documents sonores, le texte Ernesto, son seul livre pour enfants et un exercice d’admiration de Camille Laurens.Je ne sais pas ce que, m’a fait Marguerite duras.Télécharger (mp3 - 184.7 Mo) / PopupJe ne sais pas ce que (...)
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Le syndrome de Lemierre
publié le 21 août 2021 par bidonfumant
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Rediffusion d’une émission de janvier 2016
Que le Lemierre soit et le Lemierre fut...
Il m’est arrivé il ya quelques années de devoir mourir. Je raconte pour une part ce à quoi j’ai pensé et ce à quoi je n’ai pas pensé. En fait, c’est un peu plus compliqué.
Disons plutôt, quelques paysages et moments hospitaliers.LemefinitifTélécharger (mp3 - 141 Mo) / Popupliste des propositions
Quelle terreur en nous ne veut pas finir ? de Frédéric Boyersparklehorses the man who played god
parquet courts content nausea
george harrison my sweet lord
j’en ai marre hugues le bar
all that jazz bob fosse final
et il y aurait dû y avoir l’inévitable " death have no mercy" de grateful dead"
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un frisson dans la nuit : Julius Eastman retrouvé
publié le 25 juillet 2021 par bidonfumant
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La transgression ne paie pas.
Mais faut quand même la faire.
Rien est vrai tout est permis.Et le voilà , maintenant dans la rue, plus exactement au Tompkins square park, à New York. le lieu des réprouvés et de la révolte. Tout ce qu’il y a de déclassé se retrouve là depuis les années 50
Jusqu’à cette nuit 6 août 88 où tout fut nettoyé violemment par la police. En France, il y a eu la nuit du 4 août et nous, notre nuit du 6 août complètement inversé, on a rétabli les privilèges des gens bien sages et bien conformes.
Dessiné vers 1850, et devenu parc public vers 1870, le parc doit son nom à l’ancien gouverneur de New York, Daniel D. Tompkins, vice-président des États-Unis sous la présidence de James Monroe. Il a été le lieu célèbre d’émeutes sociales le (...) -
Édition "sans nom" dans un frisson dans la nuit
publié le 14 juillet 2021 par bidonfumant
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Édition sans nom, édition d’ici...
Je n’y comprends plus rien. talion h’kaärd les chroniques maladives de la Chandre
Une nuit, au bout de la nuit sur une terrasse de la place Belfort.
Ça fait si longtemps. Une nuit, au bout de la nuit, pas vraiment, d’abord je n’avais pas abusé de bière sans alcool, et puis c’était cet été et le bout de la nuit n’existait plus ou était tout au mieux un pur fantasme.Sans nomTélécharger (mp3 - 139 Mo) / PopupUne nuit de cet été où le covid se faisait plus sage, à la terrasse d’un bar de la place belfort, il passait une musique du genre pelican, far from fields, mais c’est pas sûr pour le groupe , mais pour le titre, c’était sûr, j’étais loin des champs.
Fatigué, me demandant (...) -
un frisson dans la nuit : un hamster à l’école
publié le 4 juillet 2021 par bidonfumant
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À propos d’un hamster à l’école de Nathalie Quintane
ou
la première fois que je suis entrée
dans la salle des profs, à la
première minute, dans les premières
secondes, et sans a priori particulier
la première phrase qui m’est venue,
là, y a rien qui va être possibleou
Madame, Madame, finalement, c’est quand qu’on va profiter de la vie ?
Avec un certain nombre (compter m’épuise et puis j’aime bien Fernand Raynaud) d’interprétations de school’s out et un rap éponyme.
Télécharger (mp3 - 136.4 Mo) / PopupÀ la fois pour savoir ce qui s’y passe dans l’Éducation Nationale, mais aussi pour tenter de se remémorer ce que l’ÉDUCATION NATIONALE a fait pour nous ou de nous.
Voilà donc pour un petit détour dans le livre de Nathalie Quintane, un hamster à l’école. Une chronique de ce qui se passe dans l’éducation nationale, celle qui n’habite pas le rectorat, qui se fait au jour le jour, une école de la république qui n’est plus, ne serait-ce qu’à l’image de son ministre de classe, qui finit d’en exécuter (...)