Derrière les chiffres de la catastrophe il y a des vies et des histoires concrètes. Pablo, Arinta et Anita racontent ce qu’il et elles voient de cette "crise" en négatif évidemment mais aussi en positif. Parce que lorsque tout cela s’écroule, c’est aussi le monde que nous voulons détruire qui se lézarde et des brèches qui s’ouvrent.
Forcément déjà daté parce que les choses vont vites et que ce reportage a été réalisé en avril 2013, mais il donne une idée de la réalité de cette "crise", en réalité encore un bon prétexte pour presser le prolo et réorganiser la machine à faire du profit qu’ils appellent économie.