Nous voulions parler plus spécifiquement pendant cette journée de ce que l’Etat ait à nos vies pas seulement quand sa police, nous tues, nous contrôle, nous arrête... Nous voulions resituez les violences d’État dans l’ordre qu’il soutient.
Nous avons parler de contrôle des chômeurs. Les intermittents sont un bon exemple de ce contrôle qui vise à éliminer les chômeurs plutôt que le chômage. Un son en deux partis raconte à la fois le contrôle et une action visant à le dénoncer.
Ensuite nous avons réunis autour d’une table des intermittent.e.s, des éleveurs qui ne veulent pas pucer leurs bêtes et des précaires du CAFCA qui luttent contre l’administration.
En fin de discussion le Syndicat des Travailleuses et travailleurs du Sexe est venu rejoindre la discussion pour faire la transition entre ce contrôle sociale, qui se veut propre et lisse et quand il se combine avec des formes plus rugueuse. Nous nous sommes mis à discuter avec Le Collectif Lascrosse qui occupe des logements et subit en permanence la répression, devant lutter pour des choses indispensable : eau, électricité... Avec Le Collectif étranger malade, le Collectif de Lutte et d’Information Migrantes et migrants...
A 20h30 nous nous sommes arrêtés pour évoquer le 17 octobre 1961 avec Mathieu Rigouste et nous avons continué à discuter avec des archivistes du Cras, une personne de Tant qu’il y aura des bouilles évoquant un ordre qui dans son fonctionnement pacifique est déjà une agression.
Tout au long des débats vous entendrez Mylène guitarre et chant, Infidèle Castra sons distordu et chant, Poison rouge chant, bassine et basse, qui reviendront plus tard avec un accordéon en sus.