Au Récantou, épicerie paysanne, rue des 7 troubadours
Toute la désolation que je peux exprimer n’y changera rien, cet enregistrement à un son catastrophique.
Bien sûr, je pourrais invoquer le bruit féroce des chambres froides du Récantou, mais il s’agit ici surtout de ma désinvolture. Installation habituelle avec les quelques automatismes qui garantissent le bon enregistrement.Un essai quand la salle est pleine (et peut-être à ce moment-là, les chambres froides se sont tues).
Je lance l’enregistrement et je m’installe au fond de la salle. Et là, je me rend compte qu’il faut sacrément accommoder pour entendre.
Trop concentré pour entendre et sous la magie de la poésie de Majid, j’oublie que le micro est une machine et qu’il ne sait pas accommoder et en mode auto, ça ne pardonne pas.
Donc, je vous livre cet enregistrement , équalisé avec les moyens du bord (les moyens de chez moi) et j’essaierai de le retravailler avec de meilleurs outils.
que pèse le bruit d’une vitre qu’on brise Majid Kaouah au Récantou
Et par curiosité, une émission de canalsud consacrée à ce livre et à la poésie algérienne.