La longue marche de l’égalité à la dignité #fdl du 2.10.2015

lundi 2 novembre 2015 par Le soldat inconnu |

Une ouverture à Toulouse, des drones pour niquer les frelons ça nous fait pas plaisir. On sait bien qu’on est tous le nuisible d’un autre... La preuve en espagne où l’on morfle copieusement déjà 63 arrestations... Heureusement qu’il y a des campagnes où l’on sait recevoir la maréchaussée comme il se doit et la raccompagner comme elle le mérite. ON termine par évoquer la marche de samedi 31 avec un son un peu inaudible mais qui nous situe un peu l’ambiance... On en profite pour sortir du frigo un entretien avec Mogniss Abdallah sur la marche pour l’égalité de 1983... De l’égalité à la dignité ça fait 33 ans qu’on nous promène il serait temps d’aboutir, non ?

La première demi heure enregistré très bas débit le son est lamentable désolé...

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Ensuite un entretien avec Mogniss H. Abdallah. Nous revenons avec lui sur l’histoire de la marche mais aussi sur les différents enjeux politiques qui l’ont traversée. Entre marche anti raciste et mobilisation sociale contre les conditions de vie des immigrées et enfants d’immigrées.

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Nous avons essayé de replacer cette marche dans une histoire plus large. Celle d’un mouvement social fruit d’une génération d’enfants d’immigrés qui se sont organisés sur un ensemble de questions partant des luttes pour un logement digne à celles contre les crimes racistes et sécuritaires.
Cet entretien réalisé en mai 2013 est entrecoupé d’extrait du film "Douce France, la saga du mouvement Beur" un film de Mogniss H. Abdallah produit par l’agence Im’Media. Des extraits sont disponibles en ligne avec d’autres productions de l’agence (en suivant ce lien).



Commentaires

  • Le 8 novembre 2015 à 12h10 par Linda Mondry

    Très longue Marche de la dignité à Sa, Vérité également.

    Une, Feuille & là Pierre angulaire de Sa, Justice à BruXElleS

    Tu as eu une longue conversation, avec Amale. Sur ton lit de souffrance, elle tenait à ce que je n’y assiste pas. Tu m’as laissé ce dessin, que tu avais scribouillé sur un bout de papier. Comme, à ton habitude… Je l’ai gardé longtemps puis je l’ai perdu, au Carmel. Y avait un homme qui caressait un chat et qui parlait des ogres, qui dévorent les enfants. 1 incitation à Tout, Ecrire puisque depuis toujours je Suis, aussi journaliste. https://laguenon.wordpress.com/2015/11/07/une-feuille-la-pierre-angulaire-de-sa-justice-a-bruxelles/


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