Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
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un frisson dans la nuit : l’histoire universelle des hommes-chats
publié le 17 avril par bidonfumant
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Tous les vendredis à 20 h et le mardi suivant à 9h
Un village enchâssé dans les brumes des montagnes basques, non loin de la frontière française.
Un village qui se maintient à l’écart d’un monde qu’il méprise et qui l’agresse.
Un village dont plusieurs habitants sont décrits comme correspondants à un félin particulier. D’où leurs surnoms d’hommes-chats.
Un village dont une bonne partie de la population, traditionnellement catholique, a choisi le camp des vainqueurs durant la guerre civile, mais autour duquel des guérilleros anti-franquistes ont longtemps rodé.
Un village qui cache de terribles secrets. Outre les jalousies, rivalités ou haines qui se résolvent de façon tragique ou cocasse, une rumeur persistante fait état de cadavres aux mains coupées, on ne sait par qui ni pourquoi.
Jusqu’à ce que le brouillard se lève sur la scène des crimes.
Le narrateur est lui-même un villageois qui raconte, à chaque chapitre et à différents âges de sa propre vie, un personnage remarquable. Tour à tour spectateur naïf, fin observateur, victime ou complice, il utilise le ton redondant des paysans des montagnes sans rechigner à la métaphore poétique.
Son récit constitue la chronique d’un bourg terriblement localisé, mais qui pourrait se trouver dans n’importe quelle région du monde.Homme-chatsTélécharger (mp3 - 137 Mio) / PopupJe suis très peu sensible aux critiques de livres, j’en lis peu et oublie assez vite (même si j’aime beaucoup le matricule des anges), je ne regarde pas ni n’écoute des émissions littéraires.
Je préfère choisir sur les tables des libraires dont je suppose qu’ils ont avec moi quelques connivences politiques.
Et puis il y a quelques fois des amis mal intentionnés qui me passent un livre qu’en général, j’oublie sur une étagère et que je retrouve un soir où il n’y a rien à lire. Enfin, façon de parler, le rien à lire n’existe pas chez moi. Disons que ça pourrait être un soir où je ferais comme tout le monde et (...) -
Un frisson dans la nuit : La bataille du Mirail
publié le 29 mars par bidonfumant
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En allant boire l’apéro au marché (oui, j’y vais assez souvent) ,je suis tombé sur la une du point (il n’y est plus en kiosque, les vilaines choses ont une fin), le journal approximativement de centre droit macroniste voire totalement à droite avec son titre Toulouse ; formidable où je ne sais quel qualificatif avec comme illustration la Moudenq Delga Tower, tour qui me donnera le matin l’heure par son ombre, cadran solaire appelle-t-on ça.Retour ligne automatique
Coûteux le cadran solaire et est-ce vraiment utile cette turgescence municipale ?
Il y a aussi une attaque des urbanistes au Mirail. À suivre.« Cher Syre, permettez que je me retire ; en jurant fidélité au
Roy, j’ai promis soubtenir la royauté. Or Votre Majesté me
commande un acte pernicieux à la royauté... Je refuse ! Je le
répète à mon cher maistre et souverain bien aymé : c’est une
malheureuse idée de bâtir des quartiers à usage exclusif
d’artisans et d’ouvriers. Dans une capitale où trosne le
souverain, il ne faut pas que les petits soient d’un costé et les
gros et dodus de l’autre. C’est beaucoup mieux et sûrement
quand tout est meslangé. Vos quartiers povres deviendroient
des citadelles qui bloqueroient vos quartiers riches. Or, comme
le Louvre est la partie belle, il pourroit se faire que les balles
vinssent ricocher sur votre couronne... Je ne veux, Syre, estre
le complice de ceste mesure. »
(Lettre de démission que François Miron, prévôt des marchands, adressa à Henri IV)LiigogoumTélécharger (mp3 - 136.9 Mio) / PopupPour l’information et le numéro 48 de construire !, c’est ici
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un frisson dans la nuit les bruissonantes festival
publié le 8 mars par bidonfumant
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Toute la programmation du festival les bruissonnantes en extraits sonores
Paul Otchakovsky-Laurens,fondateur de POL avait posé en exergue de sa maison d’édition :
la littérature, pour mettre là où le désordre s’installe.
Peut-être, aujourd’hui, miné par l’actualité, pourrait-on déposer une autre phrase qui serait
La littérature pour mettre de l’ordre là où le désordre s’installe.
Vous en aurez compris l’esprit, même si l’ordre n’est pas ma tasse de thé, disons mettre de la raison là où s’installe la déraison.Bruiss 24Télécharger (mp3 - 83 Mio) / Popup -
un frisson dans la nuit : les pré-bruissonnantes
publié le 1er mars par bidonfumant
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Où il sera question de poésie...
PrebuissTélécharger (mp3 - 83.5 Mio) / PopupProgrammation
Créé en 2012, Les Bruissonnantes est un festival dédié aux écritures contemporaines mises en voix, en espace et en mouvement par leurs auteurs. Il vise à faire de la poésie contemporaine la plus exigeante une expérience sensible à partager. Organisé dans le cadre de la manifestation nationale le Printemps des Poètes, il se déroule au théâtre Le Hangar à Toulouse trois soirées durant et donne à entendre « le » poème dans une grande diversité de formes : performances, poésie sonore, lectures intimistes, écritures vocales et musicales. Par ce décloisonnement, il est question d’exposer les enjeux qui traversent les écritures contemporaines dans leur volonté d’inventer ou de révéler un sens concret, polyphonique (...) -
un frisson dans la nuit : 17 janvier 2024
publié le 16 février par bidonfumant
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Le 17 janvier, il y a un million d’années selon Robert Filliou : la naissance de l’art
Une action proposée dans le cadre de tumulte (voir le texte qui suit) par trois_a
“Tout a commencé un 17 janvier, il y a un million d’années…”
Ainsi commence L’histoire chuchotée de l’art de Robert Filliou (1963).
Ce 17 janvier, nous vous proposons une programmation sonore en écho à L’histoire chuchotée de l’art : de nouvelles interprétations du texte et, en résonance ou en affinité avec celui-ci, des expérimentations musicales, bruitistes, poétiques, textuelles, etc.
Première partie17 janvier 01Télécharger (mp3 - 84.8 Mio) / PopupDeuxième partie
17 janvier 02Télécharger (mp3 - 83 Mio) / Popup
TUMULTE
Je ne sais pas vous, mais moi, j’en ai plus (...) -
un frisson la nuit : c’est d’ici que nous observons d’autres villes croître à en perdre la raison
publié le 9 février par bidonfumant
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Jeter des litres et des litres d’eau assortis de produits chimiques sur votre gazon, attendre qu’il s’extirpe de la terre, puis lui couper la chique avant qu’il ne puisse pousser, se reproduire et répandre ses graines. La définition d’une pelouse : un cycle sans fin d’écologie vouée à l’échec.
C’est d’ici que nous observons d’autres villes croître à en perdre la raison.
OUIR240112 hiverTélécharger (mp3 - 84.7 Mio) / PopupRediffusion de janvier 2024
Je ne dis pas et n’ai toujours pas dit ce qui s’est passé le 17 janvier 2024 ; ce sera fait la semaine prochaine, sans promesse excessive.
Sinon, j’ai vu ça dans la démolie avenue de Lyon.Le mercredi 17 janvier, toute la journée, il vous faudra sacrifier au réflexe QR code, ce qui suppose un certain nombre de choses qui confine à l’aliénation communicationnelle.
Donc, ce n’est pas nécessaire, mais vous ne saurez pas de quoi, il retourne où il faudra attendre la semaine prochaine pour avoir un aperçu de ce qui (...)