Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
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UN frisson dans la nuit : le tribunal des mots 1
publié le 8 décembre 2023 par bidonfumant
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Dans notre précipitation à mesurer l’historique, le significatif, le révélateur, ne laissons pas de côté l’essentiel : le véritablement intolérable, le vraiment inadmissible : le scandale, ce n’est pas le grisou, c’est le travail dans les mines. Les " malaises sociaux " ne sont pas " préoccupants " en période de grève, ils sont intolérables vingt-quatre heures sur vingt-quatre, trois cent soixante-cinq jours par an. George Pérec Interroger l’habituel
Tribunal des motsTélécharger (mp3 - 81.4 Mio) / PopupEnsauvagement
Antisémitisme
StorytellingPour une prochaine émission, vraiment (et pas comme prétexte) sur le tribunal des mots ...
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un frisson dans la nuit : travaux discrets
publié le 1er décembre 2023 par bidonfumant
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Une rediffusion de juin 23 et une idée de cadeau de Noël, si vous aimez offrir du presque rien qui interroge.
J’ai trouvé une sorte de carnet avec la reliure en haut, un bloc peut-être l’appelle -t-on, un bloc genre A5 le double d’un bloc d’un policier anglais, enfin un policier de série anglaise qui n’a pas d’arme, mais un carnet et qui finit par toujours terminer sa journée par une pinte.
Je trouve donc ce bloc étrange qui n’est pas vierge de texte, je ne peux donc m’en servir comme un bloc, mais pour y écrire la liste des courses ou de mes bonnes résolutions à venir qui sont les mêmes depuis si longtemps. Ce dont je suis sûr, c’est que comme tous les blocs qui sont reliés par de la colle, les pages finissent par se détacher. Il n’y a pas de numérotation sur les pages et il manque la page de garde ou la couverture.
Une phrase par page bien centrée au milieu de la page.BlockTélécharger (mp3 - 138.6 Mio) / PopupPiste 16Télécharger (mp3 - 2 Mio) / Popup -
Un frisson dans la nuit : Et plus si affinités
publié le 24 novembre 2023 par bidonfumant
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Une vieille émission sur un concert qui a eu lieu un jour.
Mais quand il faut couper du bois ,il y a moins de temps pour essayer de faire de la radio.
Et oublier, la sécurité sociale, les allocations familiales et la situation internationale...
Plus facile d’oublier quand on coupe du bois que quand on fait de la radio.
N’importe quoi, ces états d’âme...Télécharger (mp3 - 98.1 Mio) / Popup -
Un frisson dans la nuit : déchanter
publié le 18 novembre 2023 par bidonfumant
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Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y a pas de limite à ce que peut produire la radio.
Tout recommence toujours, les lieux voyagent avec nous, surtout ceux où on a été heureux. La poésie sert à ça, à emporter le monde avec nous, dans le temps et dans l’espace
DechanterTélécharger (mp3 - 82.8 Mio) / PopupDéchanter de Nicoles richard, c’est de la poésie et souvent comme toute poésie on y entend ce qu’on y amène à partir de ce qu’il amène.
Déchanter, dit en grande partie par l’auteur et qui s’entremêle avec Hymnen de Karl Heinz Stockhausen
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Un frisson dans la nuit : Les Talibans n’aiment pas la musique
publié le 10 novembre 2023 par bidonfumant
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Ce titre, les talibans n’aiment pas la musique, est apparu comme une paraphrase d’un petit livre édité par inventaire invention en 2005
Les talibans n’aiment pas la fiction.
De ce titre, je me suis demandé ce que pouvait bien aimer les Talibans, pas grand-chose sinon Dieu, ce qui est étrange puisque Dieu ne les aime pas (enfin, c’est ce que Dieu m’a dit…).
Dans ce livre, les talibans n’aiment pas la fiction, mais ils semblent apprécier l’uchronie."Mon chéri, tu es comme l’Amérique / À toi la faute, à moi l’excuse. » Landay d’une femme pachtoune
Je lirai donc quelques textes tirés de ce recueil.
Ce n’est qu’une lecture hasardeuse, des textes en forme de carte postale, comme celles qu’on ramène de ses voyages que l’on montre parfois à d’autres, qui s’ennuient en les regardant et qui veulent vite passer à autre chose. Les voyages n’intéressent que ceux qui les font.
Vivre en Afghanistan est inimaginable.TalibanTélécharger (mp3 - 82 Mio) / PopupEt puis se posa la question de la musique, ma plus grande curiosité.
Pas facile puisque les Talibans qui ne sont pas des mauviettes (et pourtant, ils ne jouent pas au rugby) cassent tous les instruments de musique et à l’occasion les musiciennes et musiciens.C’est (...)
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Un frisson dans la nuit : Déraisonnable, la Palestine ?
publié le 27 octobre 2023 par bidonfumant
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Car son frère lui fait peur
Il a honte de son frère
Alors il se précipite en pleurant
Dans les bras du premier Colonel Papa venu
Qui lui jure la guerre
Qui lui promet torture et prison
Pour celui qui a fait à son rejeton
L’affront d’un regard
L’affront d’un regard d’amourAlertez les bébés ! Jacques Higelin
Les dirigeants israéliens n’ont pas compris que dans une guerre asymétrique, le faible finit en général par l’emporter. Sophie Bessis Le Monde 25 octobre
deraisonnableTélécharger (mp3 - 85.5 Mio) / PopupTexte de Judith Butler sur AOC : condamner la violence
D’abord, je ne suis pas un pro, je suis à la retraite.
Je trouve que les peuples devraient savoir ce qu’ils veulent et en plus, j’ai des idées qui intéressent peu, un groupe d’individus qui fait société, sans police, sans armée, sans prison, sans guerre, sans classe (mais pas vulgaire), et avec quelques règles simples qui ne plairaient pas à un rugbyman qui sort de boîtes, un samedi soir et qui n’est pas une mauviette.
J’ai (...)